Verónica, c’est une jeune femme que j’ai envie de vous présenter depuis plusieurs semaines (mais entre-temps, je suis partie en vacances, et j’ai oublié).
Pourtant, Verónica n’est ni ma sœur, ni mon amie.
Verónica (ou plutôt Estefania Gutierrez Lazaro dans la vraie vie), c’est une jeune lycéenne qui a décidé, un jour d’éclipse solaire, de faire un séance de spiritisme avec deux camarades de classe, dans la cave de son école…
Une séance qui a tourné au drame…
Verónica, un premier trailer sous tension
« Une éclipse, une ado, une séance de spiritisme qui tourne mal… rien de nouveau sous le soleil », me direz-vous. Mais vous auriez bien tort !
Verónica est une vraie expérience cinématographique. Réalisé par Paco Plaza, le créateur de la saga à succès Rec, ce film d’horreur
espagnol est « inspiré de faits réels ».
Une mention qui me fait littéralement courir au cinéma.
Verónica, un cas particulier…
Et ça n’est pas tout : l’affaire Verónica (nommée en réalité « le Dossier Vallecas »), c’est le seul cas d’activité paranormale officiellement reconnu par la police espagnole.
En écrivant cette phrase, j’ai eu un frisson qui m’a parcouru l’échine.
Un frisson de type infernal, qui cavale sur ma nuque chaque fois que je suis face à un sujet dont je ne maîtrise pas les pleins et les contours.
Car je ne saurai jamais ce qui relève du vrai et ce qui relève du fantasme, dans ce film. Entre imagination, folie et réalité, où se situer exactement ?
Verónica joue sur ces ambiguïtés en permanence, ce qui rend le produit final inoubliable. Et je pèse mes mots.
Porté par une jeune actrice espagnole aussi talentueuse que gracieuse, j’ai nommé Sandra Escacena, Verónica sortira le 24 janvier au cinéma.
Un conseil : inscrivez-vous à la piscine municipale la plus proche et bossez votre apnée.
Vous aurez besoin de souffle au cinéma, lovées dans la pénombre, quand le film commencera…
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