Comme tout le monde, ou presque*, j’ai connu Justin Timberlake période N’Sync. Très vite, il s’était mis à fricoter pendant de longues années avec Britney Spears avant que celle-ci ne le trompe et qu’il ait une période un peu wild. Un peu.
*J’imagine par exemple que ses parents l’ont connu avant.
Ensuite, si on résume vite fait son histoire, il est devenu l’image même du mec cool, avec des costards portés de manière négligée, une carrière au cinéma qui décolle et des morceaux reconnus. Preuve qu’il s’était rangé des voitures, il s’est même marié à Jessica Biel. Une ancienne de 7 à la maison. Fou. J’en ai encore les yeux qui font des bonds de surprise.
Il semblerait que cette fois-ci, Justin Timberlake, que je me représentais assez facilement passer le dimanche en charentaises s’est drôlement dévergondé à mes yeux.
La preuve : en cliquant sur le lien me menant à son clip, je suis tombée sur ceci :
Justin Timberlake et explicit : des mots que je n’aurais pas imaginé voir liés (y a bien eu les paroles de Sexy Back, m’enfin)
Dans le clip de Tunnel Vision (je crois que ça veut dire qu’il veut rentrer sa voiture dans le tunnel de la fille qu’il aime bien. Une métaphore subtile), Justin danse et observe des corps de femmes toutes nues se tordant dans des poses lascives. Le tout accompagné de paroles dans lesquels le chanteur essaie de motiver une fille à faire du sexe avec lui, à base de « je sais que tu aimes ça » et de « tout ce que je vois est beau car tout ce que je vois c’est toi ».
Esthétiquement, c’est au poil : jeux de lumière et fumée rendent le résultat très agréable à regarder. Raies et tétons ne m’ont jamais paru aussi attrayants. Mais regarde donc plutôt par toi-même. Attention : ce n’est pas très regardable au travail ou en cours.
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