Les trouvailles d'Internet pour bien commencer la semaine #277

Voici les Trouvailles d’Internet de la semaine, avec notamment les nouveaux gens préférés du monde d’Élise : les supporters de foot irlandais.

La la li lali la lou

Oh. C’est vous. Je. Attendez une seconde, j’arrive.

Sans détour : cette édition sera consacrée en majorité aux ours.

Mais aussi : aux supporters irlandais de l’Euro.

Voici Tom. Tom n’est pas ici parce qu’il a une nouvelle petite amie. Ne soyez pas comme Tom.

[Via]

C’est partiiiiiii

Attachez votre ceinture, on y va.

https://vine.co/v/h2hBKJZnKUB

Oh et j’ai oublié : beaucoup de tendresse aussi.

Ce qui va de pair avec les Irlandais qui sont devenus mes gens préférés.

D’ailleurs, quand leur équipe a rencontré les Suédois – que voici à Toulouse :

Impressionnants supporters suedois a @Toulouse @EURO2016 @sebmartidepeche pic.twitter.com/fxjecMp2vD

— ericmouton (@ericmouton31) June 17, 2016

… ça a donné ça : « Rentrez chez vous auprès de vos jolies blondes »

Et puis ils ont chanté du ABBA avec eux :

Irish and Swedes uniting to belt out some Abba- a thing of beauty. #coybig #irishfans pic.twitter.com/8Rqh1ds9Tc

— Paddy McKenna (@PaddyMcKenna) June 13, 2016

Et quand ils voient un journaliste hongrois après le match, ils l’embarquent dans leur moment de joie :

https://www.youtube.com/watch?v=JmFFGXSxgOU

(Vous pouvez aussi lire ce super papier de McLiam Wilson)

J’aime ce genre de compétitions.

Il faut savoir s’entraider, merde.

J’ai eu d’autres trucs préférés cette semaine, comme cette série consacrée aux tableaux de George Washington.

Ça a pas sonné ? – Non – Si – George j’entends pas la télé. – C’est le livreur de pizza Martha.

Et ce tweet :

Lettre de moi à mes parents écrite à 9 ans et leur réponse, le jour où j'ai perdu foi en la démocratie participative pic.twitter.com/rjCLhobLei

— Marguerite Souchon (@MargueriteScc) June 16, 2016

Et enfin, comme stipulé plus haut : les ours.

Les ours qui savent préserver une certaine hygiène de leur corps.

Ce qui est peu chose peu aisée dans la forêt.

J’ai découvert l’existence de l’arbre qui est son seul maître : à Athens, en Georgie, un grand chêne blanc est propriétaire de lui-même. Il a ainsi hérité de sa propre parcelle de terrain, et ne peut être coupé. L’affaire a commencé au début du XIXème siècle quand un gars qui aimait tellement son arbre a décidé de lui rendre sa liberté. Les années passant, l’arbre a un jour était touché par une violente tempête et son fils a été replanté à sa place.

Voilà.

C’est aussi beau que ces cerises bien rangées :