Tu as vécu des histoires de sexe qui mérite d’être entendues selon toi ? Des anecdotes insolites, amusantes, sérieuses, surprenantes, différentes ?
Et si tu (te) racontais sous la plume de José ou Josée L’Obsédée ?
Envoie-nous un mail à jaifaitca [at] madmoizelle.com avec « Josée L’Obsédée » en objet.
Je suis assez satisfaite de constater qu’après plusieurs années de sexualité foisonnante, je découvre encore et toujours des choses au lit.
Le José aux doigts de fée
J’ai eu plusieurs partenaires dans ma vie, mais ce nouveau José a su m’étonner.
Très doué de ses mains et de sa bouche, sa manière de faire l’amour est à la fois douce et intense.
Je peux le dire sans peur : je n’ai jamais rencontré un si bon doigteur, et le casting s’est pourtant déroulé à grande échelle.
J’ai su, dès la première phalange posée sur ma chatte, que ce José avait du talent.
Avec les autres mecs que j’ai pu fréquenter, il m’était impossible de me détendre pendant le cunni et les caresses car leurs gestes brusques et imprécis faisaient planer une véritable épée de Damoclès sur mon clito.
Mais avec ce José, je n’ai pas à craindre de me faire érafler la partie la plus sensible de mon anatomie. C’est comme s’il avait déjà possédé une chatte lui-même.
Quoi qu’il tente, point d’inquiétude d’une pression trop directe ou trop forte. Ce doit être un don…
Quand José me touche la chatte
Au-delà de ses compétences techniques, ce José a quelque chose que j’avais toujours cherché en vain chez mes amants : il prend son temps.
J’attendais depuis bien longtemps cet homme qui saurait, dans ses gestes, me dire « On n’est pas pressés », surtout parce que je ne fais pas partie des filles qui jouissent vite.
Avant de me toucher la chatte, José me caresse le ventre, les cuisses, les fesses, les hanches, les grandes lèvres…
Bref, il ne se jette pas sur le gland du clitoris comme un mort de faim, et ça détend.
Mais surtout, José est inventif. Il me fait des trucs qu’on ne m’avait jamais fait, comme délibérément frotter son ventre sur mon clito en missionnaire.
Ça peut paraître basique, mais aucun de mes amants n’avait montré une telle attention à mon plaisir.
Lors de notre dernière nuit ensemble, il a tenté un move auquel je n’avais même jamais pensé.
Tirer les poils pubiens, une idée qu’elle est bien
Allongée sur le dos, je me laisse faire par mon José dont les doigts de fée courent aux alentours de mon entrejambe.
Son index se rapproche de ma vulve et glisse de ma raie des fesses au point fatidique avec douceur et fermeté à la fois. Il est fort.
Je l’aime encore plus depuis qu’il m’a avoué de ne pas aimer les chattes épilées, ce qui m’épargne de douloureuses et coûteuses visites chez l’esthéticienne (car oui, j’avais pris l’habitude de m’épiler pour faire plaisir…)
Le fait est que ma toison est donc au maximum de ce qu’elle peut produire, et que je vais découvrir que José compte l’utiliser pour faire monter un peu plus mon excitation.
Ses caresses s’égarent sur mon mont de Vénus velu et ses doigts s’enfoncent dans mes poils, avant de se resserrer sur eux pour les tirer légèrement.
Ça fait des petits frissons, à la fois pour des raisons physiques évidentes liées au système nerveux cutané toussa toussa, mais aussi parce que c’est bon de le sentir prendre possession de mon corps, mon corps entier, tout poilu qu’il est.
Dingue. Je n’avais jamais pensé que jouer avec les poils de chatte pouvait faire partie d’une relation sexuelle, moi qui adore pourtant me faire tirer les cheveux !
Bref, je me suis fait tirer les poils pubiens et c’était bien.
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Les Commentaires
- C’est comme s’il avait déjà possédé * (au lieu de -er)
- Quoi qu’il tente* (on ne peut pas le remplacer par "bien que"
- il m’a avoué * ne pas aimer* (au lieu de "aimé"