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Le gala annuel du Met – le Metropolitan Museum of Art de New York – s’est déroulé le lundi 7 mai à l’occasion du vernissage de l’exposition « Schiaparelli and Prada : Impossible Conversations« .
Et sans surprise, c’est Prada qui rafle le prix du nombre de robes placées sur le tapis rouge avec une douzaines de people rendant hommage à Muccia pour l’occaz’. Suivie de près par Givenchy qui fait toujours un carton plein sur tapis rouge, comme on peut le voir avec Beyoncé.
Parmi les robes qui ont retenu l’attention – en bien – on note celle de Beyoncé justement mais aussi celle de Diane Kruger, signée Dior. Et tout le monde a littéralement fondu pour la choupinette Emma Stone, à croquer dans sa petite robe Lanvin.
Côté couleur, ça dépote en version néon jaune et orangée
pour Kirsten Bell, January Jones ou encore Coco Rocha qui a succombé aux pointes roses, moins pour la tendance du moment que pour rendre hommage à Elsa Schiaparelli, inventrice du « rose shocking« . La robe Prada d’Anna Wintour est, elle, un clin d’oeil au homard surréaliste de Dali créé pour l’une des robes d’Elsa.
Autre tendance remarquée, celle du papier Ferrero Rocher. La robe feuille d’or ou bling-bling a brillé lundi soir, des capes brodées aux robes momifiantes de Karolina Kurkova et Cameron Diaz en passant par les écailles de Carey Mulligan.
Last but not least, les flops de la soirée. En numéro 1, tous les tabloïds semblent s’accorder sur la… sur le… bon, je n’arrive même pas à dire à quoi ça ressemble… sur la « tenue » de Marc Jacobs, suivie de près par Anja Rubik qui bat à plate couture la jambe d’Angelina Jolie avec une robe fendue jusqu’à l’aine (tapez « Anja Rubik Met Gala » dans Google Images et vous aurez toutes les positions). Puis Florence Welsh, qui a plutôt l’air de ressembler à un Pierrot, et Mary Kate Olsen, qui me fait un peu de peine (moins pour sa robe que pour son visage émacié accentué par son maquillage et sa coiffure d’épouvantail).
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