Rue69 – le blog sexe de rue89.com – via telegraph.co.uk – rapporte qu’une étude qu’on aurait pu intituler « A la recherche du point G » vient d’être menée en Angleterre. Les conclusions de l’étude sont claires : la mythique zone érogène n’existerait pas. Point c’est tout.
Les scientifiques du King’s College de Londres ont vérifié sur 900 couples de jumelles si les vraies jumelles (qui ont des gènes identiques) avaient les mêmes zones de plaisir que les « fausses » jumelles.
Raté pour les aficionados du point G : les vraies jumelles auraient donné des réponses très différentes les unes des autres, démontrant que la fameuse zone érogène n’existerait pas « concrètement ».
Qu’est-ce que ça signifie ? « Il va falloir arrêter de chercher maintenant » pour celles et ceux qui ne l’auraient pas encore situé et pour les autres, qui pensaient l’avoir déniché, que le plaisir féminin est foutrement un grand mystère — plus compliqué que celui des mecs en tout cas, ça c’est sûr. Après moi j’dis : point G ou pas point G, l’important, c’est de jouir et pis c’est tout. Mais c’est mon avis perso, hein.
— merci à Yana sur le sujet « Une info à suggérer ?«
Vous aimez nos articles ? Vous adorerez nos podcasts. Toutes nos séries, à écouter d’urgence ici.
Les Commentaires
Mais par contre je tiens à dire que quand un homme éjacule c'est pas forcément "fini" hein, le mien peut jouir encore si on remet le couvert juste après, alors que pour moi ça n'est quasiment jamais le cas, pour moi quand c'est fini, c'est fini. Donc les généralités, à la poubelle !