Les sorties ciné de la semaine, c’est chaque mercredi sur madmoiZelle, avec l’aide de SensCritique.com !
La bande de mecs qui n’ont pas très bonne mémoire revient à Vegas, une expérience scientifique dérape quelque peu et Halle Berry confirme son retour au cinéma : tout ça et plus encore au programme cette semaine !
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Avec : Bradley Cooper, Ed Helms, Zach Galifianakis…
Le père d’Alan est décédé et la bande de potes décide de s’associer pour l’aider à soigner ses (sérieux) problèmes mentaux. Mais (méga surprise), tout part en sucette puisque Doug, le marié disparu du premier film, se fait kidnapper ; pour le retrouver, les trois compères doivent mettre la main sur l’excentrique Mr Chow.
Bon, bah on prend les mêmes et on recommence, hein. D’après les premières critiques, cet ultime opus s’annonce moins mauvais que le deuxième (qui était un beau ratage tout de même) mais toujours moins bon que le premier. Y avait-il besoin d’un troisième Very Bad Trip ? À mon sens, pas forcément, mais bon : il faut traire la vache jusqu’à la dernière goutte.
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Avec : Elle Fanning, Alice Englert, Christina Hendricks, Annette Benning…
Londres, dans les années 60. Ginger et Rosa sont les meilleures amies du monde, et peut-être même un peu plus. Elles découvrent la nuit londonienne et rock’n’roll, l’adolescence, les émois… Mais aussi le combat politique, puisqu’en pleine Guerre Froide, elles décident de ne pas rester passives et de lutter pour la paix. Ce qui ne sera pas forcément bénéfique à leur amitié.
Ginger & Rosa semble être un très joli film, vraiment juste et touchant. J’aime beaucoup Elle Fanning, que j’ai notamment vue dans Super 8 : elle peut allier un visage très mutin à un grand sérieux dans ses rôles et ça me paraît parfait pour ce film qui mêle émois adolescents et Histoire avec un grand « H ». Rien à craindre pour les seconds rôles puisqu’entre Christina Hendricks, Annette Benning et Alessandro Nivola, ça devrait plutôt bien se passer.
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Une école au coeur d’un petit village japonais tout ce qu’il y a de plus tranquille. Mais une élève, Emili, est retrouvée violée et assassinée. Les seules à pouvoir identifier son meurtrier sont encore des enfants, sous le choc et incapables de se souvenir de la scène, malgré les pressions de la mère d’Emili, ivre de douleur, qui les prévient qu’elle paieront pour cette faute toute leur vie. Nous les retrouvons quinze ans après : celles qui veulent se souvenir, et celles qui veulent oublier…
Shokuzai est une mini-série japonaise transformée en diptyque (Celles qui voulaient se souvenir / Celles qui voulaient oublier), ce qui fait tout de même 4h30 de réflexion psychologique sur le meurtre, la culpabilité, l’oubli, le deuil, mais aussi l’effet que peut avoir sur de toutes jeunes filles le spectacle d’un crime aussi sexué que le viol. Si vous êtes déjà friand-e-s de cinéma japonais contemplatif et psychologique, ça risque de vous plaire ; sinon, vous risquez apparemment de vous ennuyer un peu…
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Avec : Halle Berry, Abigail Breslin, Morris Chestnut…
Une opératrice d’un centre d’appel de la police reçoit l’appel paniqué d’une jeune fille kidnappée par ce qui semble être un (très) dangereux maniaque. Elle se focalise alors sur cette enquête, même si elle doit pour cela affronter des souvenirs traumatisants.
Pas facile d’avoir un avis sur The Call avec ce court teaser et le synopsis évasif disponible en ligne. Je suis personnellement très contente de voir Halle Berry revenir sur le devant de la scène après un bon gros passage à vide et je suis curieuse de voir ce qu’elle donne dans un rôle d’action ! Cela dit, ça devient un peu lassant les histoires de serial killers/maniaques sexuels/gros tarés en tous genres qui kidnappent et traumatisent à vie des jeunes filles. Ils pourraient enlever des bodybuilders, pour changer.
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Avec : Brice Fournier, Sharunas Bartas, Rasmante Burzaite…
Lukas participe à une expérience scientifique lui permettant de pénétrer l’esprit d’un patient plongé dans le coma. Au milieu des vagues d’images et de sons lui parvenant, il repère une femme, et devient obsédé par elle, jusqu’à en tomber amoureux…
Vanishing Waves a l’air très poétique et onirique, un peu dans la veine de Je t’aime, je t’aime ou plus récemment d’Eternal Sunshine of the Spotless Mind. Reste à voir si le film va tenir sur la durée sans devenir un gloubiboulga joli mais indigeste ; en tout cas la bande-annonce est assez alléchante !
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Avec : Ali Suliman, Evgenia Dodena, Reymond Amsalem…
Amin Jaafari, un chirurgien palestinien exerçant à Israël, voit son quotidien bouleversé après un attentat à la bombe au coeur de Tel-Aviv. Sa femme, tuée dans l’explosion, semble être la coupable… Incapable de comprendre ce qui a pu motiver un tel geste, alors que le couple était totalement intégré dans la société israélienne, Amin part en Palestine pour tenter d’y trouver des réponses.
Adapté de l’excellent roman L’Attentat de Yasmina Khadra, ce long-métrage semble respecter la trame du livre. Ni film d’action ni cascade de sentiments, c’est plutôt l’incompréhension d’Amin face à l’horreur cachée au coeur même de celle qu’il aimait (et qu’il aime, malgré tout) et son envie de comprendre qui font la force de L’Attentat. Mon favori de la semaine, sans le moindre doute.
Avec : Cindy Scrash, Joao Rui Guerra da Mata, Joao Pedro Rodrigues…
Un homme reçoit une lettre paniquée de son amie Candy, expatriée à Macao. Elle y parle des « mauvais garçons », de « choses terribles »… Il part donc à sa recherche, dans la fabuleuse et inquiétante ville-casino d’Asie du Sud-Est.
La dernière fois que j’ai vu Macao est un film expérimental raconté du point de vue du narrateur, dont on ne verra jamais le visage. Plus que son voyage ou que la destinée de Candy, c’est la ville qui semble être la star du film, le personnage principal. Une intrigue jamais limpide, des choix artistiques complexes… Dur de conseiller cette oeuvre de façon catégorique : ça peut vous passionner comme vous laisser perplexe.
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Milou, accro au football, a une raison de vivre : supporter le Standard de Liège, SON club, celui qui est number one dans son coeur. Mais quand il commence à tomber amoureux de Martine, il se rend compte que sa passion est devenue une addiction et lui ronge l’esprit…
Bon bah disons que c’est… une comédie francophone quoi. Il faut aimer. Si vous aimez, ça peut vous plaire, ça a pas l’air trop nul. Si vous n’aimez pas, c’est peut-être pas la peine d’essayer…
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