Fan de bon gros rock qui tache, Louise vous a concocté un top 5 des solos de guitare qui lui foutent les poils. Branchez vos amplis, c’est parti !
Il y a deux semaines, j’ai vu Le premier jour du reste de ta vie au CinémadZ : je suis RE-tombée amoureuse de ce long-métrage, de ses acteurs (Marc-André Grondin si tu me lis, mon numéro c’est le 06 84 65…) mais aussi de son univers musical. Sur fond de rock traversant les âges, le film va de décennie en décennie sans prendre une ride ! Parmi ses grands moments musicaux, il y a ce débat entre Jacques Gamblin et ce cher Marc-André, père et fils partis en goguette à un concours d’air guitar.
Quel est le meilleur solo de guitare au monde ? Vaste question à laquelle je répondrai… qu’il y en a cinq. Enfin pour moi : je détiens pas le classement universel. Enfin j’sais pas, enfin p’têt.
On disait donc, Jacques Gamblin, tout ça. Selon ce grand fan de rock, le meilleur solo de guitare du monde entier, c’est Free Bird de Lynyrd Skynyrd. Et j’ai beau ne pas être une grande fan de ce groupe, je me vois dans l’obligation de me ranger à ses côtés.
Titre paru dans le premier album du groupe, Free Bird est un morceau culte du groupe aussi connu pour Sweet Home Alabama. Les paroles de la chanson furent inspirées par une discussion entre le guitariste Allen Collins et sa femme, tandis que la partie musicale est typique des morceaux sudistes débutant en ballade pour évoluer et gagner en puissance avec des guitares.
Ici la puissance est évidemment gagnée par un solo de la mort qui tue (pas de blague sur l’accident de 1977 qui a causé la mort de plusieurs membres du groupe on avait dit !). Quatre minutes de guitare endiablée qui ont valu à ce passage d’être considéré (à juste titre) comme un des meilleurs solos de l’histoire de rock ainsi que plusieurs apparitions épiques dans des films comme Forrest Gump ou plus récemment Kingsman.
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Et puis bon, disons qu’en live, ça envoie fichtrement du pâté aussi.
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Comment décrire The Boss, que j’aime d’amour depuis toujours grâce à mes parents, eux-mêmes fans de celui qui reste pour moi l’un des plus grands musiciens de la planète, ainsi qu’un compositeur et parolier hors-pair ? Darkness on the Edge of Town est probablement l’album que j’ai le plus écouté de ma vie : Badlands, Candy’s Room, Streets of Fire, que de merveilles.
La palme revient pour moi à Prove It All Night, une ballade rock comme Bruce sait si bien en faire. Après un solo de piano de Roy Bittan, membre émérite du E Street Band, la chanson prend de la puissance avec la voix incomparable de Bruce, accompagné d’un saxophone qui donne tout son groove à ce morceau. Mais la beauté de Prove It All Night vient du solo incomparable réalisé par The Boss lui-même.
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Moment culte des concerts exceptionnels du groupe, Prove It All Night est devenue une référence tant pour les solos que pour les versions live, parmi lesquelles la tournée de 1978 et sa version allongée de la chanson : un dialogue guitare-piano qui fait plaisir aux écoutilles.
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Alors même si tu parles d’une démonstration de maths (ça m’étonnerait, coquinou), tu peux me le prouver toute la nuit Bruce, ma porte est ouverte !
Long Road to Ruin — Foo Fighters
Grande fan de Nirvana, j’ai découvert les Foo Fighters en cherchant plus d’infos sur Dave Grohl, membre discret du groupe de Kurt Cobain mais leader et chanteur de son nouveau groupe, formé en 1994. J’ai été ravie de découvrir un groupe comme je les aime : un son alternatif, à l’univers presque hard rock, avec des paroles loin d’être bêtes.
Avec Best of You, j’étais presque partie pour remplacer la place qu’a Mr Brightside dans mon cœur (en vrai, ça n’arrivera jamais). Et puis est arrivé l’album Echoes, Silence, Patience & Grace, avec en son bord l’exceptionnel The Pretender et la déjantée Long Road To Ruin.
Le clip façon soap opera a fini de me charmer alors que j’étais déjà bien emballée par la sonorité plus pop de ce morceau par rapport au reste de l’album, à mon humble avis le meilleur jamais composé par le groupe. Dave Grohl avec les cheveux longs, cette ambiance feutrée, cette réalisation de sitcom : merci. Et puis vu qu’on est là pour en parler, gros big up au solo terminant la chanson sur une note rock, typique de la musicalité du groupe !
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Si vous êtes fans de Foo Fighters, je n’aurais qu’un conseil : guettez leurs concerts. J’ai eu l’immense chance de les voir sur la Grande Scène de Rock en Seine il y a quelques années et ça a été sans aucun doute le meilleur concert de ma vie (alors que j’ai aussi vu Zebda et Julien Clerc, quand même).
https://youtu.be/yJ6U1rqnSvk
I Believe In A Thing Called Love — The Darkness
The Darkness est si cool que je ne pouvais pas passer à côté : à mi-chemin entre hard rock et glam metal, ce groupe britannique est malheureusement assez peu resté dans la légende… sauf peut-être pour I Believe In a Thing Called Love.
Une chanson qui combine un clip aussi psyché, une telle voix haut perché et un solo de guitare aussi puissante ne pouvait rester inaperçue, et tant mieux. Influencés par le glam rock de T. Rex ou Slade, les membres de The Darkness ont composé ce premier grand succès en 2003 et la chanson s’est très vite portée dans les Top 50 de l’époque, aux côtés de Where is the Love ? des Black Eyed Peas. Ça nous rajeunit pas tout ça.
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Ce solo a aussi été l’occasion pour moi d’être scandalisée pour la première fois aux alentours de mes quinze ans, quand j’ai découvert que le solo d’I Believe In A Thing Called Love avait été COUPÉ dans la scène de baston entre Colin Firth et Hugh Grant de Bridget Jones 2. Alors que dans le premier volet, ils se battaient dans la rue sur fond d’It’s Raining Men, ici c’est un peu plus rock’n’roll et… mouillé. Yeah baby, yeah !
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Oui, la scène est en espagnol. Remercie-moi, ton bac tu vas l’avoir grâce à cet extrait.
I Can’t Quit You Babe — Led Zeppelin
Allez, soyons sérieu-x-ses cinq minutes : les rois du solo, c’est quand même un peu Led Zeppelin. Jimmy Page est une légende parmi les légendes et a d’ailleurs été adoubé d’une deuxième place au classement Gibson des 50 meilleurs guitaristes de tous les temps.
Si je reste éternellement fan de Whole Lotta Love et Stairway to Heaven (assez classique, je sais), c’est pour moi dans I Can’t Quit You Babe que se trouve toute la quintessence de Led Zeppelin. Il s’agit pourtant à l’origine d’une chanson blues écrite par Willie Dixon et interprétée par Otis Rush en 1956. Adaptée dans l’instrumentalisation et la rythmique, elle colle parfaitement au talent des membres du groupe britannique culte !
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