On ne soupe plus de Stephen King. On le petit-déjeune, on le déjeune et on le dine même. Et ça n’est pas moi qui vais m’en plaindre !
Cela dit, même si ses romans m’ont toujours séduite (à de rares exceptions), ce n’était pas toujours le cas de leurs adaptations… Alors je suis ravie de constater que la vapeur s’inverse désormais.
Stephen King au cinéma
J’ai un souvenir peu positif par exemple de The Mist, une série sortie en juin de l’année dernière.
Toutefois, les choses semblent avoir changé, au cinéma du moins. Les grands manitous du Septième Art ont joué de leurs ficelles pour façonner de très beaux produits, qui font honneur à l’écrivain inépuisable.
En septembre 2017 est par exemple sorti le très bon Ça, créé par Andy Muschietti, qui grâce à une réalisation impeccable et à un casting en vogue s’offrait un beau succès tant critique que public.
Bien sûr je l’avais découvert sitôt sa sortie, à côté d’une Mymy cachée sous sa veste en jean, qui poussait des cris de poney déshydraté.
Au sortir de la grande salle de cinéma du 10ème arrondissement de Paris, nous étions unanimes : Ça était une très belle réussite, qui faisait la part belle à la nostalgie et à des codes de l’horreur classiques mais bien maîtrisés.
En somme, nous avions passé un moment très fun, Mymy à frissonner avec les enfants, moi à rire avec le clown maléfique.
Un kif que cette nouvelle adaptation du King de l’angoisse, dont je te parle ci-dessous, devrait me procurer de nouveau !
Simetierre, une bande-annonce glaçante
Simetierre, c’est un grand classique ! Quiconque aime un tantinet Stephen King s’est déjà perdu dans ce bouquin épais, et l’inquiétante forêt qu’il dépeint.
Je suis heureuse de le voir à nouveau porté à l’écran, qui plus est par un casting de haute voltige composé notamment de Jason Clarke, de John Lithgow, et d’Amy Seimetz.
Tu es passée à côté du phénomène Simetierre ? Laisse-moi te conter son histoire sordide…
Le docteur Louis Creed quitte Boston pour s’installer dans une région tranquille et rurale du Maine (comme d’hab chez King), avec sa femme Rachel et ses deux enfants.
Dans les bois derrière sa nouvelle maison, Louis découvre un étrange cimetière d’animaux où les enfants viennent enterrer leurs compagnons à poils ou à plumes décédés.
Peu de temps après cette découverte, notre ami qui pensait trouver le repos à la campagne est frappé de plein fouet par un malheur.
Il sollicite l’aide de son voisin Jud Crandall, un type chaleureux mais un peu chelou à qui je n’aurais personnellement pas fait confiance. Une série d’évènements tragiques va alors s’abattre sur la famille, et les forces maléfiques vont se déchaîner.
VOILÀ. Encore une belle ambiance de teuf dans le Maine quoi !
Ah la la, Stephen, il aime quand ça grince, quand les gens sont pas très gentils, et quand il fait moche. C’est un peu son kif, que veux-tu.
As-tu cliqué sur la bande-annonce ? Si non je t’encourage grandement à le faire sans plus tarder.
Car une nouvelle fois, cette adaptation (par Kevin Kolsch, Dennis Widmyer) semble jouir d’une réalisation soignée, et d’un rythme maîtrisé.
J’ai un faible pour les enfants maléfiques qui portent des masques et marchent au ralenti. Ce trailer était donc fait pour me séduire.
Alors qu’en dis-tu ? Prête à en découdre avec le Mal ce 1er mai 2019 ?
À lire aussi : Les 11 films sur Netflix pour des soirées intenses et sensuelles
Ajoutez Madmoizelle à vos favoris sur Google News pour ne rater aucun de nos articles !
Les Commentaires