En partenariat avec la FDJ (notre Manifeste).
Les femmes dans le sport ne sont pas traitées de la même façon que leurs homologues masculin.
Qu’elles soient journalistes ou elles-mêmes sportives, elles ne profitent pas des mêmes avantages, de la même visibilité et elles font parfois l’objet de discriminations bien concrètes.
Nous sommes en 2018 et il est grand temps de venir à bout de certains stéréotypes autour des femmes dans le sport.
Pour cela, la comédienne Juliette Tresanini est montée sur le ring face à Sarah Ourahmoune, boxeuse française, vice-championne olympique à Rio en 2016, Championne du monde en 2008, 3 fois Championne d’Europe et 10 fois Championne de France.
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Les idées reçues défoncées par Sarah Ourahmoune et Juliette Tresanini
Toutes les deux ont rétabli des vérités au sujet du sport en général et des femmes qui le pratiquent.
Oui, les femmes peuvent être sportives, oui, les femmes sont des gagnantes et non, les femmes de plus de 30 ans ne sont pas « périmées ».
À 36 ans, Sarah Ourahmoune prouve bien que tout le monde a sa place dans le sport, et dans TOUS les sports.
Elle qui a commencé à pratiquer la danse classique plus jeune, elle est devenue une boxeuse de renommée internationale.
Sport Pour Elles, plus de visibilité des femmes dans le sport
Cette discussion passionnante autour des femmes dans le sport est soutenue par La Française des Jeux, qui veut contribuer à rendre plus accessible aux femmes tous les types de sport, à travers le programme Sport Pour Elles.
Plus d’infos par ici !
Et toi, quelles idées reçues tu as vécues/ entendues sur les femmes et le sport ?
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Écoutez l’Apéro des Daronnes, l’émission de Madmoizelle qui veut faire tomber les tabous autour de la parentalité.
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