Hey hey hey ! Comment vont mes zozos ? C’est moi, José, le cousin de Josée. Et elle m’a dit que vous raffoliez de ses aventures croustillantes, alors j’ai décidé de vous parler (enfin écrire) des miennes.
Pour le réveillon de Noël, cette année, quelques amis rencontrés par minitel (cette merveilleuse invention) et moi avons décidé de fêter la naissance du premier hippie chez l’une de nous.
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Quelques jours avant cette fameuse nuit, je quitte donc ma Normandie natale pour me rendre à Limoges (c’est le truc bien avec les amis-nitels, on découvre les trous du cul du monde belles régions françaises).
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Mes hormones bouillonnaient d’avance à l’idée de retrouver deux charmantes jeunes femmes avec qui j’avais quelques atomes crochus.
Je ne vais pas vous cacher que les rapports entre êtres humains étant ce qu’ils sont, mes hormones bouillonnaient d’avance à l’idée de retrouver deux charmantes jeunes femmes avec qui, disons, j’avais quelques atomes crochus.
Nous nous retrouvâmes donc (PASSÉ SIMPLE TAVU) au compte-gouttes chez Josette qui nous avait proposé le gîte dans son appartement pourvu d’une fabuleuse mezzanine.
Nous décidons, dans une mouvance collective, de commencer les festivités en avance, tant pis pour les absent•es. Nous décapsulons donc beaucoup quelques bières et débouchons une bouteille ou deux pour les snobs qui n’en boivent pas.
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La soirée se passe dans la joie et la joie (l’abus d’alcool de limonade est dangereux pour la santé), puis vient le moment de se coucher. Nous nous répartissons alors entre les différentes places.
Je me retrouve avec Josette et Josiane sur le clic-clac du salon, les quatre autres étant sur la mezzanine.
Nous nous installons donc dans ce lit de fortune, et la limonade aidant nous nous lançons dans des câlins et des caresses qui deviennent de plus en plus précises (if you know ce que je mean…). Elles sont si précises que dans notre élan, quelques gémissements se font entendre.
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Par souci de discrétion, je tente de calmer les sonores ardeurs de mes comparses, mais rien n’y fait !
Alors que sur la mezzanine règne un silence austère, la partie de jambes en l’air bat son plein, laissant se mêler doigts, sécrétions, et même quelques langues. Nous nous calmons finalement pour dormir enlacés l’une dans l’un dans l’une.
Le matin, avec un regard complice, les deux muses se lancent à nouveau dans l’exploration de mon corps pendant que je prie pour que les autres dorment encore.
Finalement, au lever du jour, pas un regard entendu, pas une accusation implicite d’avoir gâché le sommeil de quelqu’un. Mais ç’aurait été trop facile…
C’est quelqu’un qui n’était même pas présent qui, le soir venu, nous chuchote finalement :
« Mais franchement, vous auriez pu faire moins de bruit ! »
Je n’ai pas de morale pour cette histoire, alors je citerai un grand penseur de ce siècle :
« Oh bah écoute, vu comme c’est parti, allons-y gaiement ! »
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