Coucou la famille !
Vous savez ce que je déteste ? Les moments où je veux dormir mais je n’y arrive pas car j’entends des gens faire du sexe à côté de moi.
Mais vous savez ce que je déteste encore plus ? Les nazis.
Partant de ce postulat, j’ai décidé de ne pas vous parler aujourd’hui de la Seconde Guerre Mondiale et de plutôt parler de ces gens qu’on entend niquer un peu trop fort alors qu’on s’en serait passé.
Voici cinq histoires de personnes qui ont un jour regretté de baiser un peu trop fort.
La libido VS les parents
Wanda* témoigne de ce jour où elle aurait dû baisser un peu le volume.
« Un jour, je me suis rendue chez un ex qui vivait encore chez ses parents. C’est la première fois que je les rencontrais.
À cette époque, l’amoureux et moi étions en relation à distance alors quand on se retrouvait, on avait la libido ON FIRE.
On s’est retrouvés seuls alors on a forniqué comme jamais, en se disant que de toutes façons, si quelqu’un rentrait on l’entendrait arriver de loin.
On faisait pas mal de bruit et on était en pleine action quand soudain… on a entendu son père tousser et faire claquer une porte dans le couloir pour nous signifier qu’il était rentré.
Probablement avec tout le reste de la famille.
On ne savait pas depuis quand ils étaient là ni ce qu’ils ont entendu exactement mais on était vraiment mal. D’ailleurs, j’ai sérieusement envisagé de me barrer par la fenêtre et de ne jamais revenir, tout simplement.
Bon finalement je suis restée et ça s’est bien passé. Fin. »
Le sexe bruyant, ce non-sujet
Personne n’avait fait remarquer ce petit détail à Sam*…
« Lorsque j’ai commencé à sortir avec mon premier amoureux, j’habitais encore chez mes parents.
Donc clairement, la plupart du temps, nos ébats se déroulaient dans ma chambre d’enfant, au même étage que celle de mes parents, et collée à celle de ma petite soeur.
C’était les débuts de ma vie sexuelle, et la discrétion, ce n’était pas mon fort. Ajoutez à cela le fait que les murs sont aussi plutôt fins, et que mon lit grinçait… impossible que personne n’ait rien entendu.
Pourtant, je n’ai JAMAIS eu de remarques. Personne ne m’a dit de faire attention au bruit qu’on faisait, que c’était gênant.
Les premières fois, j’appréhendais toujours le moment du petit déjeuner, craignant une remarque assassine ou simplement gênante, mais… Rien.
Aujourd’hui encore, je me demande si ma famille sait quel bruit je fais lorsque j’atteins l’orgasme. »
Le sexe, certes silencieux, mais aussi bref qu’intense
Victorine* a découvert un truc sans le vouloir en tentant de réduire son partenaire au silence !
« Pour ne pas faire de bruit pendant le sexe et ne pas déranger son colocataire, j’ai mis la main sur la bouche du gars avec qui je couchais.
Ça l’a tellement excité qu’il a éjaculé immédiatement.
Une courte anecdote pour un bien court rapport. »
Une tonitruante envie de sexe
Ludmilla* n’est pas du genre discrète, de toute évidence.
« Je préfère dire tout d’abord que j’ai un peu honte de cette histoire.
J’avais peut être dix-huit ans, les hormones en feu, et ma meilleure amie de l’époque m’avait invitée à son anniversaire. Je dormais sur place.
À la soirée, j’ai rencontré un gars, on s’est fait des bisous dans la salle de bain et puis bon, il s’est un peu tapé l’incrust’ pour lui aussi dormir chez ma pote.
Elle s’est couchée dans son lit et le mec et moi nous avons partagé un matelas une place juste à côté d’elle. Au début on parlait tout les trois et puis ma BFF s’est endormie.
On l’a entendu ronfler alors on a arrêté d’avoir peur et on a commencé à faire l’amour « silencieusement ».
Tout allait bien jusqu’à ce qu’on entende soudain, mon amie, énervée, dire :
— HEY, si vous voulez tant niquer, allez dans la salle de bain.
Bien entendu on a bredouillé que pas du tout, jamais on ne se permettrait. Puis elle s’est rendormie (enfin je crois)… Alors on a recommencé ! Et honnêtement, c’était cool.
La fin de l’histoire, c’est que je n’ai jamais revu le mec (il habitait très loin), et je me suis embrouillée quelques semaines après avec cette copine (mais pour une autre raison). »
Le partenaire UN POIL trop bruyant
Mymy s’est prise pour Nala, mais elle n’était pas vraiment prête.
« Un jour, j’ai commencé à faire l’amour avec mon copain de l’époque après une soirée assez arrosée. À l’époque je vivais dans un de mes anciens studios avec des murs en carton et une isolation bof.
Il était tard, genre 4h du matin. J’aimais beaucoup coucher avec ce garçon, notamment parce qu’il était bien plus expressif que mes anciens partenaires (parfois je me demandais carrément s’ils ne s’étaient pas endormis tant ils étaient silencieux).
Mais là, il en a fait un peu trop… Quand le rythme s’est accéléré, le mec a RUGI de plaisir. Littéralement. Comme un lion, tout à fait, Simba dans ma chatte, quoi. »
« C’était tellement inattendu que j’ai eu un fou rire qui l’a expulsé de mon vagin, je suis à moitié tombée sur lui et last but not least, un voisin est venu toquer à la porte.
Il était déjà un peu soûlé par le bruit de la soirée mais n’avait rien dit ; par contre le rugissement venu de la bite, c’était la goutte d’eau.
J’avoue, j’ai envoyé mon mec lui répondre en lui disant :
— Vas-y, toi tu vis pas ici, moi je pourrai plus jamais le croiser dans l’ascenseur !
(Et aussi j’étais à poil avec du lubrifiant plein l’entrecuisse, donc bof envie de me rhabiller.)
Voilà. C’était la fois où j’ai niqué Mufasa. »
Allez, à toi : c’est quoi ta meilleure histoire mêlant sexe, bruits plus ou moins maîtrisés et public pas forcément désiré ?
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Les Commentaires
Par contre, la fille qui veut absolument le faire avec un mec alors qu'il y a une autre personne dans la pièce, je ne trouve pas ça très respectueux, surtout qu'elle était une invitée (après je suis peut-être un peu dure, mais ça ne lui coûtait rien d'aller le faire ailleurs).