Le mois de juillet est bien entamé, les villes se vident, les vêtements raccourcissent, et mon anniversaire vient tout juste de passer. C’est l’occasion de me faire un cadeau. Pour ma part, en ce début d’été, je n’ai pas envie de consommer à tort et à travers. J’ai envie d’un bijou depuis déjà quelque temps. Je veux m’offrir quelque chose qui dure et dont je me rappellerai chaque jour.
Plus tard, en marchant dans la rue, mon regard est attiré par de l’agitation devant une boutique à la devanture rouge, il s’agit de la bijouterie Histoire d’Or. Cette maison de bijouterie et d’horlogerie s’est donnée pour mission depuis ses fondements de rendre les bijoux accessibles à toutes les bourses et pas seulement aux élites. Elle propose à travers son réseau de près de 400 bijouteries tout ce dont vous pouvez rêver pour offrir ou se faire plaisir et ceux pour toutes les occasions.
Profiter de l’offre dans la bijouterie Histoire d’Or la plus proche de chez vous
Comment ne pas se laisser tenter par toutes ces merveilles. Après tout, regarder la vitrine ne fait pas de mal. Je dirais même que cela alimente l’imagination, et ouvre un million de combinaisons possibles qui pourraient se retrouver à mes oreilles, mes poignets, mon cou, mes chevilles… Mais ce n’est pas tout, comme pour me séduire un peu plus, une affiche m’annonce que durant tout l’été « le perçage d’oreilles est offert pour tout achat d’un bijou ou d’une montre ». Je le prends comme un signe !
Le rouge, la couleur d’Histoire d’Or et de la tentation
Entrer chez Histoire d’Or, c’est comme prendre part à une aventure dédiée aux bijoux. Les vendeurs et vendeuses sont rassemblés dans un îlot central et au petit soin des clients qui viennent chacun pour raconter l’histoire qui accompagne leur achat. De mon côté, je ne serai pas contre un nouveau bracelet pour mes trente ans.
Une fois fait le tour des vitrines, je m’aperçois qu’il y en a effectivement pour tous les budgets. De plus, la qualité est présente, les finitions sont fines, et les détails sont travaillés. J’ai uniquement de charmantes surprises sous les yeux !
Après avoir fait mon choix, j’hésite entre deux ornements, le bracelet Madya plaqué or jaune à 59 € ou le bracelet Silene or jaune perle de culture à 370 €. Je demande à une hôtesse si je peux observer les objets de plus près. En souriant, elle me demande de la suivre vers l’îlot central de la boutique, et me présente mes coups de cœur de plus près. Mon dévolu s’est jeté sur deux merveilles bien différentes. Mais la vendeuse a les mots qu’il faut pour m’aider à me décider.
Craquer pour le bracelet Madya plaqué or jaune à 59 € d’Histoire d’Or
Se laisser tenter par le bracelet Silene or jaune perle de culture à 370 € Histoire d’Or
Mais je ne perds pas le nord et je lui parle de l’offre estivale que j’ai vu un peu plus tôt. Car c’est quand même ce qui a achevé de me persuader de passer la porte d’Histoire d’Or.
C’est gratuit, pourquoi s’en priver
La vendeuse me lance un grand sourire et m’explique le processus qui sera fait en deux temps trois mouvements. Elle attrape un présentoir qui expose toutes les prothèses de perçage possibles, tel un magicien qui sort un lapin de son chapeau. Il y en a une vingtaine prête à habiller mes oreilles d’or (375/1000ᵉ et 750/1000ᵉ), de plaqué or ou d’acier.
Mon choix s’arrête sur des puces en or avec une pierre en zirconium. Elle m’indique l’emplacement réservé au perçage et m’y accompagne. Il y a seulement deux personnes devant moi. Quand vient mon tour, l’hôtesse très aimable m’installe sur un siège. Elle enfile des gants à usage unique et attrape un feutre.
Elle vérifie la symétrie de mon visage et la place de mon premier trou. Elle dessine un point juste sur mon lobe et me demande si l’endroit me convient pour ce second trou. Je réponds par la positive.
Elle attrape un pistolet à perçage, y place l’une des puces que j’ai sélectionnées, le place sur mon lobe. Tout est exécuté en suivant des normes d’hygiène et de sécurité strictes. Mon cœur bat la chamade dans un mélange de peur et d’excitation, comme juste avant le départ du wagon dans un manège à sensation. Elle compte jusqu’à trois. Le coup part. Pas le temps de dire ouf que mon oreille gauche arbore déjà un second trou. La vendeuse recommence sur l’oreille droite.
J’ai une montée d’adrénaline pendant qu’elle prend le temps de m’expliquer les bonnes pratiques pour prendre soin de mes oreilles. Je repasse par l’îlot central, elle me tend un sac floqué Histoire d’Or qui contient une lotion antiseptique offerte. Quelques minutes plus tard, je repars avec mon bracelet, mes oreilles nouvellement percées et une banane plaquée sur le visage.
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