J’aime tant la musique de Sandor.
La Suissesse a fait son apparition dans ma vie en 2016 lorsqu’elle a été programmée aux TransMusicales de Rennes. Son titre Bar de Nuit était, à ce moment là, le seul qu’elle avait sorti et clipé.
J’étais subjuguée par cette voix, mais aussi par la performance de Bastien Hippocrate dans cette vidéo : seul, éclairé par une lumière dans la nuit noire, errant et titubant comme une personne saoule sur la route du retour.
Encore aujourd’hui, ce clip me fascine. Je pourrais y rester accrochée la moitié de l’après-midi, à observer chaque mouvement du danseur.
La puissance de Sandor
Sandor fait partie de ces artistes qui m’ont attirée dans leurs filets dès la première écoute.
J’ai eu l’occasion de la rencontrer au festival Eurosonic en janvier — oui, je te parle souvent de ce festival, mais c’est que j’y ai enregistré 10 sessions acoustiques.
L’équipe de Gibson nous a gentiment accueillies dans un bus très cosy où on a pu enregistré non pas une, mais deux sessions acoustiques.
J’ai fait une petite entorse à mon règlement personnel, emportée par mon élan. Après avoir jouer Bar de Nuit
, que tu peux écouter ci-dessus, Sandor a interprété Parmi les miens — extrait de son EP sorti en mars 2017.
Personnellement, tout ce qui est dans une phase mélancolique ça me plait — pas pour rien que j’aime Bon Iver.
Autant dire que cette version acoustique de Parmi les miens arrive en bonne place dans ma playlist « Mélancolie ».
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