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Des suffragettes à Saffiyah Khan défiant l’extrême-droite, tour d’horizon de ces femmes devenues des icônes

Le cliché de Saffiyah Khan, défiant un militant d’extrême-droite, a déjà fait le tour de l’Internet. Ce nouvel exemple d’engagement a rappelé à Anne-Fleur d’autres pionnières dont l’Histoire retiendra le symbole en images. Liste non-exhaustive de ces Wonder Women du quotidien.

Elle s’appelle Saffiyah Khan et la ville de Birmingham (Angleterre) n’est pas prête d’oublier son air effronté, devenu un symbole de résistance à l’extrême droite.

Samedi 8 avril, Saffiyah se promène aux abords d’une manifestation organisée par l’English Defence League (EDL), un groupe d’extrême droite britannique.

Alertée par les cris d’une femme voilée agressée par des militants (elle protestait en marge du rassemblement contre les discriminations qui visent les musulmans), Saffiyah décide de prendre sa défense.

Mais ce n’est pas pour cet acte héroïque que Saffiyah Khan est désormais connue partout dans le monde : suite à l’altercation avec les manifestants de l’EDL, la jeune britannique s’est retrouvée face à l’un d’eux.

Le cliché de leur confrontation, posté sur Twitter par une députée britannique, a déjà été retweeté ou aimé plus de 30 000 fois au moment où j’écris cet article.

Il faut dire que l’image est puissante. Je vous laisse juger — mais vous l’avez peut-être déjà vue, tant elle a circulé ces derniers jours !

Face à la jeune femme imperturbable, le militant adopte une attitude visiblement agressive et semble même être retenu par un policier.

Le contraste entre leurs deux attitudes est saisissant et, clairement, Saffiyah domine le game (pour mon plus grand plaisir).

Le 10 avril, The Guardian a donné la parole à Saffiyah et Zafar (la femme agressée pendant la maniestation). La synthèse de leur conversation, présentée dans la vidéo ci-dessous (en anglais) est un message de tolérance et de solidarité.

C’est effectivement la meilleure réponse à apporter face à la manifestation d’extrême droite qui a provoqué leur rencontre : rappeler les valeurs de respect et de vivre ensemble.

Ce discours simple mais essentiel montre la force et la détermination de ces deux femmes militantes, engagées, fières, devenues de véritables icônes inspirantes alors qu’elles étaient encore invisibles il y a une semaine à peine.

Le buzz généré par la photographie de Saffiyah leur a offert une tribune, un espace d’ouverture pour leur permettre de s’exprimer et, peut-être, de changer un peu le monde.

Cet événement m’a donné envie de vous partager une sélection complètement subjective de mes dix femmes badass préférées dont l’image a changé l’Histoire.

Annie Kenney et Christabel Pankhurst, riot girls britanniques

Dans la grande histoire du buzz photographique, il y a d’abord les pionnières, celles dont on sent que l’utilisation des médias est encore expérimentale (mais pas moins efficace !). Parmi elles, je citerais Annie Kenney et Christabel Pankhurst.

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Sympa les chignons

Annie et Christabel sont les deux femmes à l’air bien vénère et déterminé sur le cliché ci-dessus.

Tu ne connais peut-être pas leurs noms, mais leur photo a tellement buzzé au début du XXème siècle (buzz pré-Internet, absolument) que tu as presque forcément dû voir cette image dans ton livre d’histoire au chapitre du droit de vote — #goal de toute riot girl qui se respecte, n’est-ce pas.

Annie et Christabel connaissent bien les manifestations : suffragettes de la première heure, elles sont les leaders du Women’s Social and Political Union (WSPU), un parti en faveur du droit de vote des femmes et qui prône une action violente.

Ici, elles posent d’ailleurs avant leur arrestation et leur incarcération pour avoir crié des slogans en faveur du vote féminin lors d’une réunion politique du Parti Libéral (en 1908, il fallait tout de même oser !).

Annie et Christabel choisiront d’être incarcérées plutôt que de payer l’amende : leur détention entame une vague d’arrestations de suffragettes de plus en plus déterminées à détruire les symboles de la suprématie masculine.

Pour protester, celles-ci choisissent de commencer des grèves de la faim pendant leurs incarcérations, ce qui suscite par la même occasion la sympathie des Anglais pour leur combat.

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La police tente d’ailleurs de les obliger à manger et le gouvernement a réagi — sans succès — avec la loi dite « Du Chat et de la Souris » : lorsqu’une gréviste de la faim devenait trop faible, elle était relâchée, puis réincarcérée une fois sa vie hors de danger.

Les modes d’action extrêmes choisis par les suffragettes ont finalement payé : en 1918, les femmes britanniques ont obtenu le droit de vote à partir de 30 ans (les hommes pouvaient, eux, voter dès l’âge de 21 ans).

L’égalité fut établie en 1928, lorsque les femmes furent autorisées à voter dès 21 ans (en France, les femmes ont obtenu le droit de vote seulement en 1945).

Chapeau, Annie Kenney et Christabel Pankhurst !

Jeanne Margaine-Lacroix, l’avant-gardiste

Dans les pionnières toujours, on compte Jeanne Margaine-Lacroix, qui non contente d’être totalement en avance sur son temps en matière de mode, était aussi une créatrice de buzz presque professionnelle, à une époque où même le fax n’existait pas (c’est dire). Je vous laisse apprécier son audace en image.

https://twitter.com/marie_varnava/status/740629730605469697

Printemps 1908 (et non pas 1903), course de Longchamp, Paris.

Un énorme scandale est en train de se jouer pour la fashion sphère de la Belle Époque : trois jeunes femmes vêtues de robes cintrées, légèrement transparentes et décolletées, paradent dans les hippodromes parisiens.

Pour les aristocrates qui fréquentent les courses, c’est le choc : des courbes de femmes aussi visibles, à l’ère des rigides robes victoriennes, on n’avait jamais vu ça !

Immédiatement, les journaux français et européens relaient la photographie de ces trois « monstruosités », qui ont l’air d’être « en sous-vêtement » (le slutshaming, ce n’est pas récent-récent).

À lire aussi : Je veux comprendre… le slut-shaming

Derrière ce bad buzz, il y a la couturière Jeanne Margaine-Lacroix, qui était bien consciente de la publicité qu’allait engendrer son petit défilé à Longchamp.

La créatrice voulait révolutionner la garde-robe des femmes du vingtième siècle : ses tenues étaient légèrement corsetées et les matériaux qu’elle utilisait étaient plus élastiques, donc plus pratiques à porter au quotidien (elle utilisait le jersey, par exemple, comme Chanel, tiens tiens).

La diffusion inédite de cette photographie pendant le printemps 1908 a assuré la pérennité de la maison de couture de Jeanne et a permis de repenser radicalement la silhouette des femmes, tout en leur donnant plus de liberté de mouvement.

Quant aux trois modèles de la maison Margaine-Lacroix, elles se sont vues offrir une très bonne place au cabaret du Moulin Rouge : comme quoi, même en 1908, il n’y aavait pas de mauvaise publicité !

La rentrée historique de Ruby Bridges

Début mars 2017, le film Les figures de l’ombre est sorti au cinéma (qu’il faut que tu cours voir si ce n’est pas encore fait !) Il raconte l’histoire de trois femmes noires qui travaillent comme calculatrices pour la NASA (plutôt stylé, oui).

Mary Jackson, l’un des trois héroïne, rêve de devenir ingénieure. Elle obtient d’un juge le droit de suivre des cours du soir dans une école exclusivement réservée aux Blancs afin de valider un diplôme nécessaire à son avancement.

Son histoire, c’est un peu celle de Ruby Bridges.

ruby-bridges

Courage petite mère <3

Ruby, c’est cette minuscule petite fille de six ans au centre de la photo.

En 1960, c’est sa rentrée à la William Frantz Elementary School.

Tu te souviens peut-être de ta propre arrivée au CP : même avec ton cartable

Pokémon et tes nouvelles baskets à scratch, tu n’étais pas super serein•e, dans l’école des grands.

Alors imagine Ruby : ce 14 novembre 1960, elle, elle fait sa rentrée DANS L’HISTOIRE. Posément.

Ruby Bridges est la première enfant noire à intégrer une école pour enfants blancs en Louisiane.

Ses parents avaient répondu à un appel du NAACP (une association nationale pour les droits des personnes de couleur) et avaient accepté que leur fille participe à l’intégration dans le nouveau système scolaire mis en place à La Nouvelle-Orléans.

À cause de manifestants ségrégationnistes violents venus protester à l’entrée de la William Frantz Elementary School, Ruby a eu besoin de protection pour entrer à l’école.

Les officiers de la police locale et de l’État refusant de la protéger (fatigue…), elle fut escortée par les trois « Marshals » fédéraux qu’on voit sur la photo.

Mais Ruby, qui n’avait que six ans, n’avait pas tout à fait compris le drame qui se jouait :

« De la voiture, je pouvais voir la foule, mais puisque je vivais à La Nouvelle-Orléans, je croyais que c’était Mardi Gras.

Il y avait une grande foule de personnes près de l’école. Elles lançaient des choses et me criaient dessus, mais ce genre de chose arrivait à La Nouvelle-Orléans au Mardi Gras. »

Quand Ruby est arrivée à l’école, tous les enseignants, à l’exception d’une professeure blanche, refusèrent de lui faire cours.

Pendant un an, Barbara Henry s’est donc occupé uniquement de Ruby, comme si elle enseignait à toute une classe.

Ruby Bridges a aujourd’hui soixante-deux ans : le drame de cette photo, c’est peut-être aussi qu’elle est aussi récente…

Elizabeth Eckford, la courageuse

Comme Ruby, Elizabeth Eckford est elle aussi devenue célèbre pour être allée à l’école.

Alors qu’elle a 12 ans, la Cour Suprême des États-Unis déclare que la ségrégation des élèves est illégale. Mais en Arkansas, les écoles de Blancs refusent toujours d’accepter les élèves noirs.

Le 4 septembre 1957, Elizabeth et huit autres élèves tentent d’entrer à l’école secondaire de Little Rock, réservée aux Blancs. Une foule de ségrégationnistes en colère les insulte et tente de les empêcher d’accéder à l’établissement.

Elizabeth a seize ans : personnellement, à son âge, j’aurais juste eu envie de m’enfuir dans un petit trou de souris.

Elizabeth, elle, continue d’avancer courageusement, en ignorant superbement la foule furieuse.

Tellement de badasserie ferait presque mal à mon ego, si elle n’était pas aussi inspirante !

Si la photo est aussi célèbre, c’est aussi en raison d’Hazel Bryan Massery, la jeune femme blanche au second plan, dont le visage est déformé par la haine : la violence des insultes qu’on l’entend presque hurler à Elizabeth contraste encore plus fort avec le calme de la jeune fille.

Cette image est certainement la meilleure illustration de l’injustice et de la violence de la ségrégation.

L’année suivante, Elizabeth déménage à Saint-Louis, où elle termine son secondaire et obtient un bachelor degree en histoire.

Bitch please.

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Géraldine Doyle, l’iconique

Si tu as l’impression d’avoir vu le visage de Géraldine Doyle sur un milliard de mugs, de posters et autres goodies, c’est normal.

L’affiche originale est l’une des dix images les plus demandées à la National Archives and Records Administration, l’agence responsable de la gestion des archives du gouvernement américain.

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Of course !

L’entreprise Westinghouse Electric and Manufacturing Company, en faisant appel à l’artiste J. Howard Miller afin de créer une campagne de communication (ou de propagande, c’est selon) à destination de ses travailleurs, ne se doutait certainement pas que son affiche deviendrait une icône.

Beyoncé a même posté sa propre version sur son compte Instagram !

Le « We » de la célèbre affiche We can do it ! ne désigne à ce moment-là non pas les femmes, mais bien toutes les forces de l’entreprise.

Pourtant, quand on voit l’expression décidée de Geraldine Doyle (la modèle qui a inspiré Miller), alors aux commandes d’une presse à métal, on ne peut que ressentir l’empouvoirement présent dans l’affiche.

« Vous aussi, vous pouvez être fortes ! » semble nous dire Géraldine, qui accomplit sans sourciller et avec confiance des tâches habituellement attribuées à des hommes.

Cette exaltation si joyeuse et sincère de la force des femmes explique le succès de l’affiche : un véritable buzz pour une femme vraiment badass !

Jan Rose Kasmir, la hippie

Cette scène est devenue célèbre dans le monde entier.

Nous sommes en 1967, lors d’une manifestation à Washington contre l’intervention américaine au Vietnam. Une jeune manifestante, Jan Rose Kasmir, dix-sept ans, s’est jointe à la foule bruyante des contestataires et défile en robe à fleurs.

Arrivés près de leur destination, les manifestants butent contre une ligne de soldats de la Garde nationale, armés jusqu’aux dents. Jan Rose Kasmir, qui a emprunté un chrysanthème à quelqu’un, s’approche des militaires.

À quelques centimètres des lames des baïonnettes, elle brandit la fleur en signe de défi — tout un symbole à l’ère du Flower Power, un mouvement qui prône la non-violence.

Ce geste pacifique, capturé par Marc Riboud, rappelle plus que jamais la tranquille fierté de Saffiyah Khan. Jan Rose est devenue un symbole de la lutte contre la guerre au Vietnam et contre la militarisation.

Son geste est d’autant plus fort que plusieurs années après, elle a confié ignorer si les soldat avaient l’ordre de tirer sur la foule : un vrai courage pour une petite nana devenue sans transition une icône.

Ieshia Evans, la surnaturelle

Cinquante ans séparent Ieshia Evans de Jan Rose Kasmir, mais c’est la même intensité terrible qu’on retrouve dans les deux clichés.

Ieshia Evans aussi lutte pour un monde plus pacifique : elle fait partie du mouvement #BlackLivesMatter, qui proteste contre les discriminations envers les personnes noires.

La manifestation à laquelle elle décide de prendre part a lieu en réaction de la mort d’Alton Sterling, abattu à bout portant par la police de Baton Rouge.

Si la photo a fait le tour du monde, c’est en raison de sa dimension presque mystique : Ieshia Evans, très calme, droite, sa robe longue flottant dans un vent qui paraît surréel, affronte sans bouger la charge de policiers armés et casqués, dont on ne voit même pas le visage.

Immobile, déterminée, les bras nus, elle est bien plus impressionnante que les policiers en armure : c’est tout un symbole qu’elle envoie au monde entier.

Elle est la digue sur laquelle les vagues de haine et de violence viennent mourir.

Julia et Auriane, les amoureuses de Marseille

Julia et Auriane sont également devenues un symbole de tolérance contre la haine.

Nous sommes en 2012, en pleine période des débats autour du mariage pour tous, et en totale overdose de bleu et rose layette dans les rues…

L’opposition au projet de loi qui vise à autoriser aux personnes homosexuelles le mariage et l’adoption lance ses dernières forces dans la bataille : des rassemblements sont organisés un peu partout sur le territoire.

Julia et Auriane, 19 et 17 ans, se promènent dans le centre-ville de Marseille quand elles tombent par hasard sur une manifestation anti-mariage pour tous. Sans se concerter, elles décident de réagir en s’embrassant sur la bouche.

Ce geste symbolique, plein de joie et d’amour, qui contraste avec les visages fermés (ou dégoûtés) des personnes en arrière-plan, est capturé par Gérard Julien, photographe de l’AFP.

Le cliché est immédiatement relayé par Paul Parant, journaliste chez Têtu : en vingt-quatre heures, 3 000 personnes le retweetent et, très vite, il fait le tour du monde.

Cette image illustre la victoire de l’amour sur le conservatisme et la réaction : le bonheur insolent qui se dégage de Julia et Auriane (qui sont d’ailleurs juste amies) est la meilleure réponse aux opposants des droits des personnes LGBT.

Bisous les rageux !

« Fearless girl », la petite nouvelle

En 1989, Arturo Di Modica installait sans autorisation un immense taureau en bronze devant Wall Street. Pour l’artiste, c’était un moyen de montrer la force et la puissance du peuple face à l’institution capitaliste.

Le 8 mars dernier, Journée internationale de lutte pour le droit des femmes, une autre statue a rejoint le taureau : une petite fille en bronze, installée par l’agence de publicité State Street Global Advisor, fait fermement face au taureau de Wall Street.

https://twitter.com/PeterSchoeberl/status/848158096912416768

Poings sur les hanches, calmement, comme toutes les femmes de cet article, elle défie l’oppresseur. Elle semble dire au taureau qu’il ne lui fait pas peur.

Pour l’agence de publicité, c’était un moyen de dénoncer le faible nombre de femmes dans les conseils d’administration des grandes entreprises.

Il faut dire qu’effectivement, la parité est loin d’être respectée : environ 25% des 3 000 plus grands groupes cotés américains ne comptent aucune femme dans leur conseil d’administration. OKLM.

Pour Arturo Di Modica, cet ajout détourne l’objet de son œuvre, qui était à l’origine un pied de nez anti-capitaliste. L’ajout de #FearlessGirl vient défendre les institutions qu’il dénonçait (revendiquer plus de femmes dans les conseils d’administration des grandes entreprises, c’est effectivement accepter qu’il y ait des grandes entreprises).

Cependant, le message de la petite fille de Wall Street est peut-être plus universel : certes, elle se lève fièrement contre l’oppression patriarcale, mais elle se lève aussi pour elle, afin de montrer au monde entier qu’elle en est capable, comme toutes les femmes citées ici.

Les fières, les sans peur, celles qui savent qu’elles ont raison, celles qui regardent droit dans les yeux leurs oppresseurs, quels qu’ils soient, parce qu’elles savent qu’elles sont et seront les plus fortes.

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À lire aussi : 3 meufs cool qui ont forgé l’adulte que je suis devenue


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Les Commentaires

1
Avatar de Melydo
14 avril 2017 à 10h04
Melydo
Pour ce qui est de la ségrégation noirs-blancs aux états-unis dans les écoles, j'en profite pour conseiller un super bouquin, Des mensonges dans nos têtes de Robin Talley Il est vraiment très bien écrit et permet de voir de l'intérieur les mécanismes de la ségrégation, du point de vue d'une jeune adolescente noire et du point de vue d'une jeune fille blanche élevée par des parents racistes.

Sinon la liste est cool, sauf peut-être cette histoire de petite fille face au taureau qui ne fait toujours aucun sens à mes yeux Clairement c'était à côté de la plaque et c'est bafouer le sens initial du taureau de Wall Street, bref c'est un fail quoi.
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