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Société

Qu’est-ce que « Départ 18:25  », cette aide méconnue qui permet de financer ses vacances à hauteur de 250 euros ?

L’Agence nationale pour les chèques-vacances a créé « Départ 18:25 » afin de financer les vacances des jeunes en France. Une aide qui peut aller jusque 250 euros et que peu de personnes connaissent.

Des vacances à petits-prix voire prix nuls pour les 18-25 ans ? C’est qu’a mis en place L’Agence nationale pour les chèques-vacances (ANCV). Cet organisme, qui ne fait pas que gérer des chèques vacances, met également en place des dispositifs d’aide sociale. Elle a créé le programme « Départ 18 : 25 » avec la Caisse des Allocations Familiales (CAF). L’objectif ? Financer les vacances des jeunes de 18 à 25 ans.

Cette aide, peut aller jusqu’à 250 €, dans la limite de 80 % du prix du séjour, et avec un reste à charge de 50 € minimum. Elle peut être sollicitée une fois par an et par personne.

Possibilité de voyager dans plusieurs villes françaises

Cette aide peut être utilisée pour couvrir les dépenses liées aux vacances, telles que les frais d’hébergement, les frais de transport, les activités sur place. Néanmoins, elle n’est pas directement versée en espèce, mais est déduite des factures des prestataires de services choisis pour le séjour.

Ce dispositif est loin d’être nouveau, puisqu’il existe depuis 2014. Pour en profiter, il faut se rendre sur le site Depart1825.com, qui propose des formules éligibles à ce dispositif, uniquement en France, que ce soit à la mer, à la montagne, ou dans une grande ville.

À lire aussi : C’est quoi le Pass Rail (pour des billets de train moins chers) qui sera mis en place dès cet été ?

Mais il ne suffit pas d’avoir entre 18 et 25 ans pour en bénéficier. Les jeunes peuvent également prétendre à une enveloppe financière si ils affichent un revenu fiscal de référence inférieur à 17 280 € pour 1 part fiscale (soit être célibataire).

Ils peuvent en bénéficier également s’ils entrent dans l’une des catégories suivantes : être en contrat d’apprentissage ou en contrat de professionnalisation, être étudiant boursier, titulaire d’un contrat d’engagement jeunes, élève d’une école de la deuxième chance, bénéficiaire de l’aide sociale à l’enfance ou encore volontaire en service civique dont la mission est en cours ou terminée depuis moins d’un an.


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