Cette semaine, avec l’application de rencontre NousLib, nous donnons la parole à une de nos lectrices, qui nous raconte sans tabou l’un de ces pires dates foireux. Cette histoire aurait pu être évitée si à l’époque elle connaissait les services proposés par l’application. Immersion.
À la base, je n’avais pas très envie de m’inscrire sur les applications de rencontre, mais j’ai fini par craquer. Après tout, tout le monde le fait et c’est l’occasion de rencontrer des gens que tu ne croiserais pas forcément dans ta vie de tous les jours. J’ai fini par sauter le pas avec une app de rencontre assez connue.
L’idée n’était pas tant de trouver l’amour de ma vie, mais de rencontrer un mec avec lequel je m’entendrais bien et qui serait compatible avec ma vie sexuelle assez, disons, libérée.
« Quand ça colle trop bien, c’est qu’il y a un loup »
C’est comme ça que j’ai croisé le profil d’Alex. Non seulement il était sacrément beau, mais en plus, son profil cochait BEAUCOUP de cases. Il aimait l’Italie et sa cuisine qu’il avait découverte pendant son année en histoire de l’art à la faculté de Florence en Erasmus. C’est un truc qui a fait tilt direct quand j’ai lu ça sur son profil. Ma famille vient de Tarente, donc rencontrer un mec qui partage le même amour du pays, c’était un signe pour moi.
On partageait beaucoup de points communs. Je te passe les détails, mais il aimait le cinéma, il était sensible à l’écologie, il aimait la randonnée et l’escalade, les voyages, bref, le profil était quasi parfait.
Tous les feux étaient, en apparence, au vert. Alors, j’ai décidé de swiper, et on a matché. On a donc commencé à discuter tous les jours. Le courant passait vraiment bien, et de fil en aiguille, on a un peu commencé à se chauffer l’un et l’autre. Perso, j’apprécie le BDSM. Ce n’est pas forcément hyper courant, alors j’ai un peu tâté le terrain sans trop me dévoiler et il semblait assez réceptif, ce qui m’a rassuré.
Nous avons donc décidé de nous voir en vrai. On avait rendez-vous dans un bar du 11ᵉ arrondissement de Paris et moi, j’étais en avance. En l’attendant, j’ai repassé son profil en revue, et je ne sais pas pourquoi, j’ai eu un mauvais pressentiment. Je ne saurais pas vraiment comment l’expliquer, mais à cet instant, il y avait quelque chose de bizarre, un détail sur lequel je n’arrivais pas à mettre le doigt. Tu sais, quand ça colle trop bien sur le papier, c’est qu’il y a un loup.
Un profil qui n’a rien à voir avec la réalité
Il est finalement arrivé avec 10 minutes de retard, et là, la douche froide. Le mec que j’avais face à moi était certes assez mignon, mais il ne collait vraiment pas à sa galerie photo. On aurait dit que toutes ses photos de profils avaient été retouchées à l’IA.
J’ai un peu déchanté mais je suis passée outre en me disant que nos conversations seraient probablement aussi intéressantes en vrai que par messages. Ou pas.
En discutant un peu, j’ai creusé la “backstory” d’Alex qui n’était absolument pas graphiste, mais chauffeur de VTC. Il avait mis les pieds en Italie, mais c’était “juste pour quelques jours en vacances”. Les recettes et les astuces, il les avait sorties tout droit du subreddit r/italianfood. À ce stade, je vais être honnête avec vous, la seule chose qui me retenait au bar, c’était la qualité de ma bière et la possibilité de finir la soirée avec lui.
Du coup je l’ai un peu branché sur nos dernières conversations plus “hot” afin d’oublier le profil bancal qu’il s’était créé. Il faut savoir que dans ma vie intime, j’aime le BDSM (rires). C’est pas forcément une info qu’on lâche par message à un mec qu’on a jamais rencontré, mais j’avais laissé entendre que j’étais plutôt ouverte à des pratiques pas hyper communes.
Et dans les échanges, Alex semblait explicitement ouvert sur le sujet. J’ai donc mis un peu les pieds dans le plat en lui parlant de mes envies côté sexe pour tâter le terrain. Quand il a entendu le terme BDSM, je l’ai vu se décomposer avant qu’il m’avoue d’une voix mal assurée qu’il était hyper mal à l’aise avec ça et qu’il préférait le sexe beaucoup plus conventionnel.
Honnêtement, j’ai eu l’impression de perdre mon temps. J’ai mis fin au date, car rien ne collait, ni sur le plan humain ni sur le plan sexuel. À cet instant, je me suis dit qu’il n’existait aucun moyen de pouvoir anticiper sereinement ses envies côté sexe sur une app de rencontre. Le sujet n’est pas forcément facile à aborder avec un inconnu, et j’avoue que l’idée de pouvoir matcher avec quelqu’un qui annonce directement quels sont ses kinks, ça simplifierait clairement les choses.
Tu vois, avec, je sais pas, un système de filtre par exemple, j’aurai pu demander à ne rencontrer que des mecs qui partagent mes envies, ça m’aurait évité ce date foireux de A à Z.
Pour éviter les mauvaises surprises en date, il y a aussi l’application Nouslib
Parler de ses envies ou de ses pratiques en toute sérénité sur les applications de rencontre sans se sentir jugé est loin d’être évident. C’est dans cette optique que l’application NousLib a vu le jour.
Pensée pour les célibataires ou les couples qui souhaitent se dévoiler dans un espace protégé et bienveillant, l’application de rencontre met tout en place pour faire de sa plateforme une safeplace de la rencontre numérique. Pour cela, NousLib permet de filtrer les profils en fonction de ses pratiques et préférences sexuelles. Tout est fait pour éviter les mauvaises surprises.
Mieux, NousLib bénéficie d’une modération rigoureuse qui vérifie scrupuleusement chaque profil avant de les valider. L’assurance de parler à de vraies personnes, en toute confiance. Il est enfin possible de chatter depuis l’application et d’envoyer des photos éphémères à la manière de Snapchat. De quoi se découvrir petit à petit avant de sauter le pas du vrai date.
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