Des popes grecs orthodoxes et des prêtres arméniens, tous chrétiens mais de traditions et de rites différents, se sont battus hier au sein même de la basilique du Saint-Sépulcre à Jérusalem.
Pourquoi ? Difficile à dire avec précision.
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Edifié autour du lieu supposé de la crucifixion et du tombeau de Jésus-Christ, le Saint-Sépulcre est l’un des hauts lieux du christianisme, co-administré par les représentants de l’Église orthodoxe grecque, de l’Église catholique romaine, de l’Église apostolique arménienne, mais aussi des Coptes orthodoxes, des Éthiopiens orthodoxes et des Syriaques orthodoxes.
Malgré les règles strictes qui régissent la cohabitation de tout ce petit monde, le moindre incident est susceptible de mettre le feu aux poudres.
En 2002, une chaise malencontreusement déplacée a fait 11 blessés à l’issue d’une bataille rangée entre Coptes et Ethiopiens.
En 2004, une porte laissée ouverte pendant une célébration a déclenché un pugilat qui n’a pas fait de victime.
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