7 juillet 2016 à 23h07
MonNomDutilisateurProut
Bonsoir tout le monde !
Je sais, c’est une vieille émifion (géniale cela dit en passant), mais ce n’est qu’aujourd’hui que je ressent le besoin d’écrire une petite bafouille.
Alors voilà, j’ai 19 ans, et depuis très trèès longtemps, je ressentais un certain manque d’affection masculine. En effet, autour de moi, mes amies sortaient et couchaient pas mal, ce qui fait que moi, petite chose, j’étais un peu perdue..
Problème n°2 : j’ai une tête « d’enfant ». Ce n’est pas un vrai problème en soi. J’aime bien, je peux me permettre plein de choses, mais je deviens systématiquement la petite soeur, l’amie.
Ce qui est plutôt chiant pour tenter de conquérir le coeur du mâle.
Venons en aux faits. C’est les vacances, et j’ai fait un festival, avec une super amie (disons Julie) : 3 jours de fête, de rire, de soleil, tout ça tout ça.
Il s’avère qu’on y a retrouvé des amis qu’on c’était fait l’année dernière, sur ce meme festival.
Ils sont plus agés, genre 25 ans, mais on s’entend tellement tellement bien que ça passe.
« Julie », un garçon (disons Tom) et moi se retrouvent seuls dans un concert, et ils s’embrassent. Super cool.
Personnellement je n’aime pas boire, mais la fatigue extreme me fait un effet plutôt chouette : je me met donc en tete d’embrasser le 1er mec beau. Célibataire c’est mieux.
Et c’est là que PAF, on croise un autre ami de l’année derniere (disons Pierre), (un pote à « Tom » donc) (et à nous).
Je vous épargne les détails, mais on finit, moi et Pierre, par bien s’embrasser, bien rigoler, tout ça tout ça.
Et de file en aiguille on se retrouve tout nu dans ma tente
Les conditions étaient catastrophiques : on a quémandé une capote aux voisins bourrés, qui se sont fait un plaisir de nous chambrer, on avait qu’un sac de couchage pour deux, et c’est plutôt bof ça...
C’était quand meme hyper doux, et il fut hyper compréhensif, attentif et délicat, n’a rien fait sans que je le valide. Je ne fus pas du tout entreprenante. Certaines fois, je l’ai guidé, je connais mon corps, et sait ce qu’il aime...
Solange te parle, si tu m’entend, j’ai à peine touché le petit animal qu’est le pénis.
Mais je pense quand meme pouvoir affirmer avoir pris du plaisir. Je ne sais pas si j’ai jouit, mais il a eu de la chaleur, et c’était doux ; les doigts font des merveilles, alliés de caresses, c’est magnifiques.
Pour cause de douleurs et de fatigue de l’extreme extreme, nous n’avons pas réussir à faire l’amour.
Mais cela ne fut pas problématique ; on a bien rigolé, en se disant que « l’essentiel c’est de participer ».
Ça a bien détendue l’atmosphère, et après réflexion, durant tout ce temps, on c’est bien marré : des gens bourrés, du sac de couchage, du matelas qui glisse..
Donc tout ça pour vous remercier du travail que vous faites.
Et pour poser un « témoignage » : je n’ai pas une seconde pensée à mon épilation inexistante, ni à mes lèvres asymétriques.
Je n’ai pas réfléchis ni fait de grands calculs pour trouver LA manière idéale de paraitre sexy et ultra glamour.
Je n’ai pas tenté de faire comme « dans les films trop classes ».
Tout fut très spontané, presque logique. Je me suis laissée emportée, guidée, et ce fut très chouette.
Je ne suis pas amoureuse de ce garçon, je le connais à peine, et ce ne fut pas LA première fois (du genre pénétration vaginale et tout).
Mais ce fut très décomplexant et rassurant. Ma petite tête apeurée de sa capacité à séduire va mieux. Je suis plus confiante, plus à l’aise, moins pétrifiée ou apeurée de la sexualité.
Nous sommes encore en contact tout les deux, on rigole toujours bien.
C’est tellement loin de ce que je pouvais imaginer (pétales de rose et tralala), mais je me suis tellement plus amusée.
Je ne suis pas amoureuse,
Ce ne fut pas ma "première fois »
Mais ce fut tout comme,
et je suis contente et rassurée
1
Les Commentaires
Je sais, c’est une vieille émifion (géniale cela dit en passant), mais ce n’est qu’aujourd’hui que je ressent le besoin d’écrire une petite bafouille.
Alors voilà, j’ai 19 ans, et depuis très trèès longtemps, je ressentais un certain manque d’affection masculine. En effet, autour de moi, mes amies sortaient et couchaient pas mal, ce qui fait que moi, petite chose, j’étais un peu perdue..
Problème n°2 : j’ai une tête « d’enfant ». Ce n’est pas un vrai problème en soi. J’aime bien, je peux me permettre plein de choses, mais je deviens systématiquement la petite soeur, l’amie.
Ce qui est plutôt chiant pour tenter de conquérir le coeur du mâle.
Venons en aux faits. C’est les vacances, et j’ai fait un festival, avec une super amie (disons Julie) : 3 jours de fête, de rire, de soleil, tout ça tout ça.
Il s’avère qu’on y a retrouvé des amis qu’on c’était fait l’année dernière, sur ce meme festival.
Ils sont plus agés, genre 25 ans, mais on s’entend tellement tellement bien que ça passe.
« Julie », un garçon (disons Tom) et moi se retrouvent seuls dans un concert, et ils s’embrassent. Super cool.
Personnellement je n’aime pas boire, mais la fatigue extreme me fait un effet plutôt chouette : je me met donc en tete d’embrasser le 1er mec beau. Célibataire c’est mieux.
Et c’est là que PAF, on croise un autre ami de l’année derniere (disons Pierre), (un pote à « Tom » donc) (et à nous).
Je vous épargne les détails, mais on finit, moi et Pierre, par bien s’embrasser, bien rigoler, tout ça tout ça.
Et de file en aiguille on se retrouve tout nu dans ma tente
Les conditions étaient catastrophiques : on a quémandé une capote aux voisins bourrés, qui se sont fait un plaisir de nous chambrer, on avait qu’un sac de couchage pour deux, et c’est plutôt bof ça...
C’était quand meme hyper doux, et il fut hyper compréhensif, attentif et délicat, n’a rien fait sans que je le valide. Je ne fus pas du tout entreprenante. Certaines fois, je l’ai guidé, je connais mon corps, et sait ce qu’il aime...
Solange te parle, si tu m’entend, j’ai à peine touché le petit animal qu’est le pénis.
Mais je pense quand meme pouvoir affirmer avoir pris du plaisir. Je ne sais pas si j’ai jouit, mais il a eu de la chaleur, et c’était doux ; les doigts font des merveilles, alliés de caresses, c’est magnifiques.
Pour cause de douleurs et de fatigue de l’extreme extreme, nous n’avons pas réussir à faire l’amour.
Mais cela ne fut pas problématique ; on a bien rigolé, en se disant que « l’essentiel c’est de participer ».
Ça a bien détendue l’atmosphère, et après réflexion, durant tout ce temps, on c’est bien marré : des gens bourrés, du sac de couchage, du matelas qui glisse..
Donc tout ça pour vous remercier du travail que vous faites.
Et pour poser un « témoignage » : je n’ai pas une seconde pensée à mon épilation inexistante, ni à mes lèvres asymétriques.
Je n’ai pas réfléchis ni fait de grands calculs pour trouver LA manière idéale de paraitre sexy et ultra glamour.
Je n’ai pas tenté de faire comme « dans les films trop classes ».
Tout fut très spontané, presque logique. Je me suis laissée emportée, guidée, et ce fut très chouette.
Je ne suis pas amoureuse de ce garçon, je le connais à peine, et ce ne fut pas LA première fois (du genre pénétration vaginale et tout).
Mais ce fut très décomplexant et rassurant. Ma petite tête apeurée de sa capacité à séduire va mieux. Je suis plus confiante, plus à l’aise, moins pétrifiée ou apeurée de la sexualité.
Nous sommes encore en contact tout les deux, on rigole toujours bien.
C’est tellement loin de ce que je pouvais imaginer (pétales de rose et tralala), mais je me suis tellement plus amusée.
Je ne suis pas amoureuse,
Ce ne fut pas ma "première fois »
Mais ce fut tout comme,
et je suis contente et rassurée