Trouver chaussure à son pied s’avère souvent compliqué, surtout quand on cherche des talons hauts confortables. La jeune créatrice de mode indépendante Nathalie Chebou Moth ne le sait que trop bien. C’est pourquoi la fondatrice de la marque Omôl, déjà habituée à taillée des vêtements bien coupés et colorés dans de belles matières upcyclées, a mis près de deux ans à développer sa première paire de chaussures. Mais voilà qu’elles sont enfin prêtes : il s’agit des sandales Totem 1.1, désormais disponibles en pré-commande sur l’eshop de la marque.
Pourquoi ces sandales Omôl valent le coût, surtout durant leur période de pré-commande
Tout en cuir, ces sandales d’une hauteur de 10 cm, avec une plateforme de 1 cm, s’ornent d’un talon façon masque africain. Plus faciles à porter qu’il n’y paraît grâce à la cambrure parfaite pour les rendre aussi confortables que des talons de cette hauteur peuvent l’être. Leur laçage stratégique pour bien maintenir le pied et la cheville, on peut aussi bien les porter pieds nus qu’avec des collants ou des chaussettes. Et même les lacer par-dessus un pantalon pour les plus audacieuses. Et au pire, elles sont suffisamment jolies pour s’afficher fièrement dans une bibliothèque en guise d’objet de décoration, plutôt que de rester dans leur boîte.
Disponibles en pré-commande depuis le 25 mars jusqu’au 15 avril 2024 (pour une livraison prévue à partir de mi-juillet), ces sandales qui s’annoncent comme les it-shoes de cet été peuvent donc coûter 285 € au lieu de 385 €. Le prix d’une fabrication éthique et artisanale au Portugal.
Pré-commander les sandales Omôl sur l’eshop de la marque
On peut également soutenir cette campagne de financement participatif en achetant une reproduction numérotée de l’œuvre de l’artiste camerounaise Martine Mbarzouga, Ekopeh Girl (toute de Omôl vêtue et accessoirisée) à partir de 75 € en fonction du format.
Ou encore le tote-bag (de 40 x 30 x 10 cm) en matières upcyclées bien résistantes d’Omôl, à 50 €.
Alors que la France vote une loi pour limiter les ravages de la fast fashion, c’est donc peut-être aussi le moment de prendre le temps de soutenir de jeunes créatrices de mode contemporaines et indépendantes comme Nathalie Chebou Moth.
À lire aussi : Huit jeunes créatrices qui changent la mode avec style et conscience
Écoutez Laisse-moi kiffer, le podcast de recommandations culturelles de Madmoizelle.
Les Commentaires