Le sport et moi, on ne partait pas gagnants. J’adorais les jeux de plein air, mais je détestais « le sport », cherchez l’erreur. Comme je le racontais ici, me réconcilier avec le sport
a été un véritable marathon : long, pénible et douloureux, mais tellement, tellement satisfaisant tant je suis fière d’y être arrivée.
Aujourd’hui, je suis capable de me lever à l’aube pour aller courir sur les quais de Seine. La moi de quinze ans ne comprendrait pas. Et pourtant, j’aurais adoré qu’à quinze ans, la moi d’aujourd’hui m’explique ce que j’ai appris grâce à mes pratiques sportives.
Si j’avais su pour la force, la santé, le bien-être, la fierté, le challenge, le goût de l’effort, j’aurais sans doute changé d’avis plutôt. C’est surtout ça que j’avais envie de dire, à travers ces vidéos (rendez-vous la semaine prochaine pour la suite!)
J’essaie pas de te convaincre, Mymy. Après tout, si tu es heureuse sans sport dans ta vie, qui suis-je pour juger ? C’est plutôt à toutes les « moi » qui rejettent le sport pour des mauvaises raisons (c’est-à-dire celles des autres, pas les leurs), que je voudrais m’adresser.
C’est en tout cas le sens que je voulais donner à notre conversation sur le sport, à découvrir dans ces 2 épisodes de Sister Sister : je tiens le discours que j’aurais aimé entendre pour pouvoir gagner du temps, dans ma vie, et ne pas avoir à me poser ces questions de moi-même — à l’aube de mes 30 ans, effectivement !
À lire aussi : Faire du sport, à quoi bon ? Sister Sister entre Mymy & Clémence round 2 ?
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