Elle encourage tout le monde à s’accepter, pourtant, elle-même a encore du mal.
Et elle espère un jour pouvoir s’autoriser à s’aimer dans un corps qui change.
Paradoxes, le podcast madmoiZelle
Chaque dimanche, découvre un nouvel épisode de Paradoxes dans lequel Alix te lit la courte histoire d’une contradiction qui anime l’une d’entre nous, nous qui ne sommes pas parfaites.
Dans Paradoxes, le nouveau podcast madmoiZelle, on se donne le droit d’être imparfaites. Et c’est ce qui nous rend parfaites.
Alors laisse-toi empouvoirer par ce nouveau podcast !
Participe à Paradoxes
Ça te dit qu’on se partage nos imperfections ? Envoie ta contradiction à podcast[at]madmoizelle.com, et elle pourra être lue au micro de Paradoxes.
Allez, rendez-vous bientôt pour le prochain épisode de Paradoxes !
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Les Commentaires
Je soutiens beaucoup le mouvement body positive, pour moi il n'y a pas de modèle de corps beau ou moche, et pendant longtemps j'ai appliqué ces propres concepts à mon corps : je n'ai pas à avoir honte de mes poignées d'amour, mes poils un peu trop visibles, ma taille 40/42... Et c'est pareil pour mes relations, d'autant plus que c'est uniquement la personnalité des gens qui m'attire (demisexualité bonjour).
D'ailleurs, j'essaie encore de l'appliquer, ce concept, mais malgré tout, j'ai quand même décidé de me remettre à faire du sport pour avoir un ventre plat, m'habiller de façon plus féminine, et me maquiller plus souvent. En gros, j'ai décidé consciemment de re-rentrer dans les canons de beauté. Parce que moi, mon corps me va très bien comme il est, mais force est de constater que ce n'est pas le cas pour la gente masculine, et malheureusement je suis une femme hétéro. Je commence à rentrer dans l'âge où on rencontre moins de gens, où beaucoup d'hommes bien sont déjà en couple, où on se rend compte que le "marché" des rencontres est très compétitif et que pour trouver chaussure à son pied il vaut mieux mettre tous les atouts de son côté...
Bref, m'assumer comme je suis tous les jours, je n'y arrive plus. J'ai limite l'impression que mon gras du ventre est un symbole militant que je brandis malgré moi. Ça m'énerve. Je n'ai pas l'énergie pour ça, je n'ai pas l'énergie d'expliquer à mes collègues de travail que ce n'est pas très grave si cette robe me grossit un peu, je n'ai pas l'énergie de réfléchir chaque matin à si j'ai l'air "assez mince" avec telle tenue ou si je devrais en choisir une autre...
Désolée, mon commentaire s'est un peu transformé en coup de gueule, mais bor***, comment on fait pour faire avancer les mentalités plus vite ?