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Culture

Des photos de guerre… en Hipstamatic

Avec les nouvelles applications photos sur les smartphones, il est possible depuis quelques années d’appréhender la guerre en Afghanistan d’une autre façon.

Ça fait 10 ans qu’elle dure. La guerre d’Afghanistan a commencé en octobre 2001, à l’époque où iPhone et Facebook n’existaient pas encore. Depuis, une décennie est passée, Ben Laden est mort, Facebook compte 750 millions d’utilisateurs et le smartphone le plus apprécié du monde en est déjà à sa 5e édition.

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The Foreign Policy est un bimestriel américain crée en 1970. Il y a 2 jours, la rédaction de ce titre traitant essentiellement des affaires étrangères et de l’économie a publié un papier intitulé « The War in Hipstamatic« . Cet article revient sur ces photos de guerre, capturées via la très populaire application iPhone Hipstamatic.

IMG_0487Cette application très appréciée des utilisateurs de iPhone permet de renouer avec le Hipstamatic 100, appareil photo crée par les frères Dorbowski (pour en savoir plus, je vous conseille la lecture de ce post publié sur photographier.fr).

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Gauche : Mohammed Mujahid dans son bureau de chef policier / Droite : la sieste d'un vigile devant un immeuble désaffecté, anciennement salle de mariage

L’article nous apprend que Basetrack est une plateforme multiforme relatant cette expérience de photojournalisme. « Cette série inédite de photos prises via iPhones propose un nouveau regard sur la vie des Marines et celles de ces Afghans qu’ils rencontrent », commente le magazine The Foreign Policy.

Droite : Amindi, dans le camp de réfugiés Charahi Qambar / Gauche :  un Marine dans la province de Helmand

Gauche : Amindi, dans le camp de réfugiés Charahi Qambar / Droite : un Marine dans la province de Helmand

Droite : des militaires US près du centre commercial de Kaboul après un suicide à la bombe / Gauche : Scène de vie devant une épicerie à Kaboul

Gauche : des militaires US près du centre commercial de Kaboul après un suicide à la bombe / Droite : Scène de vie devant une épicerie à Kaboul

– Plus de photos sur Basetrack et sur foreignpolicy.com


Et si le film que vous alliez voir ce soir était une bouse ? Chaque semaine, Kalindi Ramphul vous offre son avis sur LE film à voir (ou pas) dans l’émission Le seul avis qui compte.

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