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Société

De quoi le succès historique de la pétition pour le climat est-il le nom ?

L’Affaire du Siècle est devenue, en 4 jours, la pétition la plus signée en France, et dépasse désormais les 2 millions de soutiens. Quel message lire derrière cet engouement ?

Publié le 21 décembre 2018 — En moins de quatre jours, plus d’un million de citoyens et citoyennes ont apporté leur signature à l’appel de 4 ONG.

Ce jeudi 10 janvier 2019, la pétition a dépassé les 2 millions de soutiens.

L’Affaire du Siècle, une pétition record

Oxfam France, la FNH, Greenpeace et Notre Affaire à Tous sont 4 associations qui mènent des missions d’intérêt général : la défense de l’environnement, des droits humains, de la justice.

Ces 4 ONG ont décidé de déposer un recours contre l’Etat français, pour que la justice contraigne les pouvoirs publics à prendre les mesures auxquelles nos dirigeants se sont déjà engagés.

En parallèle de cette action, les 4 ONG ont lancé un appel : une pétition que les citoyens et citoyennes sont invitées à signer, pour apporter leur soutien à ce recours.

Signe la pétition

Notre Affaire à Tous

Est-ce que c’est possible, est-ce qu’on peut faire un procès contre l’Etat, et surtout, est-ce qu’on peut gagner ?

Je réponds à ces questions et bien d’autres dans cet article : Peut-on attaquer l’Etat en justice pour inaction climatique ?

La pétition climat, devant le Travail et les Gilets Jaunes ?

La pétition « Climat : stop à l’inaction » totalise, à l’heure où j’écris ces lignes, un peu plus d’1,3 million de signatures. Elle vient de passer devant la pétition contre la Loi Travail, qui avait atteint le million de signatures en mars 2016.

Sur la troisième marche du podium, se place la pétition dite des Gilets Jaunes. Lancée par Priscillia Ludosky, la pétition « pour une baisse des Prix du carburant à la pompe ! » interpelle François de Rugy et Emmanuel Macron.

Elle a atteint 1,1 million de signatures en quelques jours.

De quoi le succès de cette pétition est-il le nom ?

La pétition de Notre Affaire à Tous combine un double record : celui de la pétition la plus signée, mais aussi dans le laps de temps le plus court. Il aura fallu moins de 4 jours à ce texte pour fédérer plus d’un million de signatures.

Poussé par les collectifs Il est encore temps et On est Prêt, le texte de l’appel devrait continuer à amasser des soutiens dans les jours à venir.

Je suis prête à parier que la préoccupation écologique s’invitera aussi dans nombre de conversations des repas de fin d’année.

Le mouvement des Gilets Jaunes aussi devrait continuer à faire parler de lui : mais pourquoi faudrait-il opposer ces deux sursauts citoyens ?

#LaffaireDuSiecle et #GiletsJaunes : même combat ?

La pétition des Gilets Jaunes a obtenu, jeudi 20 décembre, une réponse d’Emmanuel Macron. Le Président de la République écrit :

« Vous me dites : « Nous sommes déjà dépendants des cours du pétrole, il n’est pas question qu’en plus nous subissions une augmentation des taxes ! »

Et vous avez raison : l’action contre le réchauffement climatique est un combat nécessaire, mais il ne doit pas opposer les problèmes de fin du monde aux problèmes de fins de mois. »

Pourquoi « mais » ? L’action contre le réchauffement climatique est un combat nécessaire, ET il ne doit pas opposer les problèmes de fin du monde aux problèmes de fins de mois.

La fin du monde a beau être imminente si on ne fait rien, elle sera toujours plus lointaine que la fin de mois, qui menace les plus exposés d’entre nous de plus en plus tôt dans le mois.

Fin du monde contre fin de mois ?

Ce vendredi 21 décembre, sur France Inter, Marion Cotillard et Cyril Dion répondaient aux questions d’Ali Baddou. Tous deux sont impliqués dans la campagne de L’Affaire du Siècle.

Cyril Dion est l’un des co-scénaristes de la vidéo virale dans laquelle Marion Cotillard porte le message, aux côtés de nombreuses autres personnalités d’Internet, de la télé, du cinéma, de l’activisme écologiste.

Et Marion Cotillard commente cette réponse du Président de la République : c’est lui qui oppose fin du monde et fin de mois, dans sa rédaction. Dans les faits, les deux problématiques sont liées, bien sûr.

L’écologie, enfin une préoccupation ?

De quoi le succès de cette pétition est-il le nom ?

Cyril Dion, co-réalisateur du film Demain, le commentait sur France Inter :

« Le changement climatique est en train de devenir l’une des préoccupations majeures des Français, avec le pouvoir d’achat, avec l’emploi »

Effectivement, c’est sans doute en soi une bonne nouvelle : que les écologistes ne soient plus perçus comme des oiseaux de mauvais augure, des fatalistes, catastrophistes, bref les gros briseurs de good mood à coups de campagnes tragiques.

À ce rythme de signatures et de diffusion, je peux écrire que cet appel est entendu par celles et ceux qui le signent : ils et elles se sentent suffisamment concernées par le sujet pour y laisser leur nom, et partager le lien à leurs cercles.

En soi, c’est une bonne nouvelle : c’est la première étape, indispensable, vers un changement en profondeur de notre société. Cette première étape aura toujours été une prise de conscience.

De la prise de conscience à la convergence

La deuxième étape, ce sera le rassemblement : il a déjà commencé dans les rangs des convaincus. Le succès des diverses Marches pour le Climat organisées plus ou moins spontanément depuis la démission de Nicolas Hulot, le 28 août 2018, en est un témoin.

Mais c’est en dehors de ces rangs que le rassemblement devra s’opérer, et la bonne nouvelle est que là encore, la convergence des intérêts citoyens est naturelle.

En effet, la préoccupation écologiste devrait être universelle : c’est son discours qui divise, alors que son but devrait unifier. C’est dans l’opposition entre les luttes et les revendications que se trouvent les paradoxes.

Un poissonnier en détresse, ou la convergence des luttes

En voici un exemple déchirant : au micro de Jean-Jacques Bourdin, un poissonnier fond en larmes.

Les blocages orchestrés par les Gilets Jaunes menacent directement la survie de son entreprise.

Son entreprise, ce n’est pas une multinationale qui pille les océans. Ce sont quelques centaines d’euros qu’il perd par jour de manifestation, et ça fait trop de jours qu’il perd quelques centaines d’euros.

Ce poissonnier est pourtant directement touché par la hausse des prix du carburant, qui menace aussi très directement l’équilibre économique de son activité.

Et il est aussi directement touché par les problématiques écologiques, bien sûr : les populations de poissons subissent la pollution, le réchauffement climatique, la destruction des écosystèmes.

Crise verte, Gilets Jaunes et drapeau blanc

Ce poissonnier n’est pas l’exclu de ces luttes, des Gilets Jaunes, de l’Affaire du Siècle : il est au croisement de ces luttes. C’est précisément ce que répond Vincent Verzat à ceux qui taxent la mobilisation écolo de « révolte des bobos gauchos » :

« Tous les humains sur cette planète respirent de l’air et boivent de l’eau. Ce recours, c’est garantir le droit à un avenir sur cette planète, et donc en France, à tous.

C’est un recours pour une transition juste qui ne laisse personne de côté.

Parmi les deux plus grands manquement de l’Etat que ce recours cible, on a les trop faibles investissements publics dans les économies d’énergies réalisées dans les logements (rénover les logements, permettre aux gens de se chauffer mieux et moins cher), et dans les transports (développer le ferroviaire, rouvrir les gares, plutôt que laisser les gens sans autre choix que de prendre leurs bagnoles).

ET les deux outils les plus justes pour sauver le climat, qui sont dans ce recours, c’est faire payer les pollueurs et les plus riches, et mobiliser l’argent public (plutôt que faire payer les individus), ET et de réinvestir TOUTES les recettes de la fiscalité écologique dans des alternatives écologiques adaptées à tout le monde et accessibles par TOUS.

Donc la fin du monde et les fins de mois difficiles, un même combat. »

À la croisée des luttes, le monde de Demain ?

Voilà des années que je m’intéresse de près à l’écologie, et à peu près aussi longtemps que j’attends le sursaut citoyen auquel je suis en train d’assister.

Et si l’Affaire du Siècle a ravivé mon optimisme en cette fin d’année 2018, c’est parce que les citoyens sont de plus nombreux à se mobiliser, et que par-dessus cette mobilisation, des organismes issus de la société civile interpellent l’Etat.

Cyril Dion et Marion Cotillard l’expliquaient sur France Inter : l’urgence climatique met en péril la survie d’une partie de l’espèce humaine, tout simplement. Mais qui peut prendre sur ses épaules le poids de cette information ?

Le déni, la sidération empêchent nombre d’entre nous d’accepter simplement que notre réalité a déjà changé. Mais le nombre et la solidarité nous permettent de partager ce poids, entre tous et toutes, et bien sûr, d’abord et avant tout avec les décideurs publics : nos élus, nos dirigeants.

Alors, de quoi le succès de la pétition #LaffaireDuSiecle est-il le nom ? Je l’espère, d’un pas décisif vers un nouveau monde, d’une nouvelle société plus juste pour TOUS ses membres.

À lire aussi : Le réchauffement climatique, un problème de riches, vraiment ?


Les Commentaires

17
Avatar de MaryPoppinz
24 décembre 2018 à 01h12
MaryPoppinz
Rhololo, je trouve cette discussion tellement intéressante owant: !

Je vais essayer de reprendre dans l'ordre les idées qui me sont venues en tête
Ohlala, désolée pour le pavé !


@Kettricken je touche moins de 1100 € net. Quand même complétés avec une centaine d'euros de prime d'activité - mais c'est tout ce à quoi j'ai droit en terme d'aide financière. Je vis seule (avec deux gros chats :coiffe Et donc la chance ultime de faire partie de la catégorie "ni trop, ni pas assez" ...
Gosh ! Je fais partie des pauvres alors ? Parce qu'en vrai, je n'en ai pas l'impression... J'ai l'impression de plutôt bien m'en tirer, en étant quelqu'un de plutôt dépensier en plus !

Tu penses que la France aurait les moyens d'investir là dedans (écologie) ? J'aimerais tellement. Après c'est clair que niveau politique, avec changement de camp et de plan tous les cinq ans, ou six ans pour les municipalités etc, j'ai toujours ultra du mal à comprendre comment on arrive à faire avancer les choses. Genre deux pas en avant et trois pas en arrière. Il y a tellement de perte de temps dans tout ce système... Peut-être est-ce cela que les Gilets Jaunes souhaitent changer ? Allons nous vers une sixième République ?
En tout cas, c'est clair qu'il faut arrêter la consommation à outrance (et en tant que dépensière, je me fais vioooleeeence haha omokun: !)

Sinon, au sujet de San Francisco, j'ai vu que ça y est, les bouteilles plastiques ont été interdites à la vente !! Sauf si cas exceptionnel il me semble, comme par exemple de l'eau alors qu'on n'a pas d'autre solution à portée de main. Il me semble aussi qu'il y a une histoire de taille de bouteille. Mince, je ne sais plus où j'ai lu cet article (Le Monde ?) mais j'ai trouvé ça teeeeellement chouette !

Et pour le sopalin, c'est moi qui fait une fixette mdrrr ! J'ai décidé de ne plus en racheter après la fin de mon dernier rouleau. Et en tant que maman de deux chats qui aiment bien poser leur petit vomito régulièrement, franchement, je me suis faite violence haha ! Mais je suis fière de m'en passer. (Bon, par contre, j'ai été faible et j'ai racheté des lingettes désinfectantes pour nettoyer les cacas à côté de la litière. Je suis en arrêt depuis deux mois pour bientôt me faire opérer du dos, et là les coups d'éponge à quatre pattes, ca commençait à devenir compliqué... shame on me :ninja.
Mais comme le dit @deanea , le meilleur déchet est celui qu'on ne produit pas. Je ne sais pas du tout quelles ressources sont nécessaires pour la fabrication d'un rouleau de sopalin, mais je me dis que ça implique de l'eau, du papier, des machines, de l'électricité, un emballage plastique, des gens payés pour gérer ça, des véhicules de transport, etc etc. Bon ben moi je rince ma lavette pleine de vomito épuivoilà unno: En tout cas, chapo pour celles et ceux qui ont le reflex "compost" Je trouve ça déjà ultra bien !

Je suis d'accord avec toi @Lune0103 sur le fait de nous faciliter la tâche pour avoir accès à certains trucs. Genre... mea culpa, en général, je fais mes courses à Carrefour. C'est cool car il y a des distributeurs de vrac, mais qui sont systématiquement vides ou bouchés, ou débit mal réglé donc inutilisable, et niveau variétés franchement... c'est pas le top. Je bénie la Biocoop qui s'est installée en face ! Mais maintenant, le centre-ville se meurt au niveau des commerces... c'est tellement agaçant tout ça ! Et devoir faire dix magasins pour m'approvisionner, ça me saoule. Surtout s'il faut que je prenne la voiture entre chaque Je me dis que ça annule les efforts. Ca serait intéressant là du coup, de savoir ce qui est le mieux : faire de la borne pour acheter écolo-local, ou acheter tout au même supermarché à pieds ?
C'est clair que le "responsable, durable et équitable devrait être la norme" ! Faudrait même pas qu'on ai le choix en fait. Enfin, perso, ça me simplifierait la vie ! et éloignerait les tentations consuméristes....

Sinon, @Deanai et @JimmyPaulette , perso je n'ai aucun problème avec les articles fashion sur le maquillage, les fringues, ... etc. Oui, c'est de la pub. Et heureusement que je n'ai pas succombé pour tous les produits de toutes les pubs que j'ai pu voir dans ma vie ! (les pubs Instagram en ce moment me parlent teeeeellement !!)

Je me dis principalement que, ces articles là ne font pas forcément de ce magazine un pro du consumérisme. Ça serait le cas si tous les employés étaient des gros c*nnards à vivre de vaisselle jetable et d'échantillons en tous genres, jeter leurs paquets de clopes par la fenêtre, de ne pas savoir épeler les mots "tri sélectif" et de ne jamais s'être posé la question du durable ou écocitoyen.
Je pense - j'espère - que dans leurs bureaux, ils sont responsables, évitent le gaspillage de papier au coin imprimante, éteignent la lumière en sortant des wc, n'ouvrent pas les fenêtres alors que le chauffage est en route, s'amènent leur gourde perso ou lavent leur tasse si besoin, se partagent des petits gâteaux maisons en évitant de se gaver de kinder pingoui emballés individuellement.
Pour ça, je leur fait à peu près confiance (même si je sais que des cons, il y en a partout )

@MissMachine par rapport à la perte de confort, j'ai juste envie de citer l'exemple du savon de Marseille. Chez moi il me sert de savon sous la douche, de dentifrice, de savon pour la vaisselle, et de lessive. Je ne connais personne d'autre dans mon entourage qui fait ça unno:
Mon pauvre bloc de savon vert caca d'oie tout rabougri qui sent toujours la même odeur et a toujours la même couleur.
J'y vois là - plutôt à travers les yeux des autres hein - une baisse de confort, dans le sens où, ben nan, j'ai plus de gel douche qui sent bon le bubble-gum ou la goyave tonifiante, ni d'adoucissant à la vanille des île, je n'ai pas de tube de dentifrice qui te met des étoiles qui brillent dans les dents, ni de brosse à dent orange fluo avec les poils chassé-croisés-vaguelettes pour un meilleur brossage (j'ai une brosse en bois).
J'ai juste un bloc de savon vert caca d'oie. Qui peut paraître terne, moche, nul et ennuyeux. Qui peut paraître comme étant une perte de confort, nan ? (Du vécu : "Han non mais moi je pourrais pas me passer de la menthe du dentifrice quand même" > c'est bien là une question de confort ?)

(Petite parenthèse pour les cotons à démaquiller réutilisable. Ça me fait marrer depuis que j'ai percuté en fait... Ces "cotons" correspondent juste à des... gants de toilette, non ? Enfin, j'le vois comme ça Du coup, bien ouèj le gars ou la meuf du marketing qui a lancé l'idée ! )

Les marques savent tout à fait nous créer des besoins.
Mais du coup, si on leur demande de lever le pied... genre... il feraient moins de chiffre ? Et du coup devraient licencier ? Je ne sais absolument pas comment on peut sortir de ce bourbier...


Pour les fringues, perso, je ne saurais pas dire si celles de mon adolescence étaient de meilleure qualité. En fait, je me dis qu'aujourd'hui, je peux avoir des pulls, pantalons, hauts etc, depuis 3 ans, 5 ans, 8 ans ou plus. Mais... Ce n'était pas le cas à l'adolescence puisque, bah, on grandit quand on est ado, et le corps change et tout. Donc, j'ai jamais pu garder une fringue pendant 8 ans en tant qu'ado, puisque j'aurais été censée l'avoir de mes 10 ans à mes 18 ans unno: Donc je ne peux pas comparer avec cette période du coup.

Oui, les fringues se bousillent peut-être plus vite (surtout si tu les prends à Kiabi ou truc du genre).
Mais ça aussi, ça mériterait au moins un travail de recherche pour faire un mémoire ! Je me dis que ce n'est as forcément "fait exprès", mais que les fabricants font avec ce qu'ils ont : des modes super changeantes, donc il faut un paquet d'articles et une grosse réactivité, des matières premières de qualité réduite, parce que du coup, tout est devenu plus cher, et qu'on demande à tout le monde de faire plus et plus vite, mais avec moins de ressources humaines, matérielles et financières... Pour répondre à des exigences de la mode, et donc des gens. Ou bien des gens, et donc de la mode .
C'est un tel casse-tête !
Du coup, en ce qui concerne le gros éléctro ménager, je ne pense pas que j'investirais dans de la seconde main (quoique... j'ai bien acheté mon four-gazinière en brocante :cretin de peur de me faire n*quer à cause de l'obsolescence programmée.

J'ai bieeen bien dérivé du sujet de base je crois. Mais je trouve ça tellement intéressant
En vrai je kifferais en discuter autour d'une louche de thé tiens Discussion qui ne mènerait probablement nulle part (refaire le monde, toussa, ...), mais il y a tellement d'ouverture d'esprit par ici que je kiffe !



Et euh...
Bonne fêtes à toutes et tous isco: !
3
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