Vous avez le moral dans les chaussettes ? Vous ne croyez plus à la vie et ses surprises ? Je vous présente Olenka. Elle a trois ans, elle adore la bouffe… et elle cuisine super bien.
La petite fille qui cuisine, car il n’y a pas d’âge pour être passionnée
Olenka aime la nourriture depuis un moment. À huit mois, sa maman a compris que la petite fille avait un vrai goût pour la bouffe et elle a décidé d’en faire quelque chose.
Anna, c’est son nom, a appris à sa fille à cuisiner et à manier différents outils tels que le couteau ou les plaques chauffantes. Alors elle l’aide pour les tâches les plus « dangereuses » mais le reste… c’est Olenka qui s’en occupe !
Résultat, une enfant qui s’éclate, qui goûte, qui s’active et qui fait vraiment plaisir à regarder.
Elle est tellement enthousiaste et concentrée ! Au-delà de l’aspect chou de ces vidéos, j’ai surtout trouvé la petite fille hyper inspirante.
La petite fille qui cuisine, un bel exemple d’enfant au potentiel ouf
Quand j’étais petite, j’étais agacée par les adultes qui me parlaient comme à une nunuche juste parce que j’étais jeune.
Certains en sont encore surpris et pourtant, Olenka nous donne une bonne leçon. C’est pas parce qu’on est gosse qu’on a moins de potentiel !
En fait, c’est comme le reste du monde : quand on croit en eux dès le départ, ils sont capables de trucs ouf.
Lorsqu’on regarde le fil de commentaires du post de Food Envy sur Facebook, certaines personnes sont incrédules.
Elles disent que leurs enfants ne feraient jamais ça. Mais peut-être que c’est lié au fait que personne ne les en a crus capables, non ?
Quand j’étais ado, je cuisinais beaucoup avec mes petits frères. Au fur et à mesure, ils ont appris à se débrouiller seuls (sous surveillance quand même, on n’est pas des sauvages) !
Certes, on a déjà eu un gâteau à l’huile de friture par accident. Mais c’est en se trompant qu’on apprend et leurs petites têtes satisfaites valaient à peu près tous les gâteaux du monde.
Parce que, finalement, c’est ça qui est inspirant chez cette petite fille : la satisfaction de la réussite qu’on ne doit… qu’à soi. Savoir qu’on est capable de faire quelque chose, d’aimer ça et d’être doué•e.
Allez, à vos fourneaux maintenant !
À lire aussi : Et si on arrêtait de juger l’assiette du voisin ?
Et si le film que vous alliez voir ce soir était une bouse ? Chaque semaine, Kalindi Ramphul vous offre son avis sur LE film à voir (ou pas) dans l’émission Le seul avis qui compte.
Les Commentaires