Mise à jour du 2 décembre 2016 — Cette nuit, les meilleurs jeux de l’année ont été annoncés au cours des Game Awards, l’équivalent de la cérémonie des Oscars dans le monde du jeu vidéo. Parmi la dizaine de prix remis, le plus convoité est revenu à Overwatch, qui est donc sacré meilleur jeu de l’année.
Le jeu événement de Blizzard faisait face à Doom, Inside, Uncharted 4 et Titanfall 2. Pour ma part j’approuve plutôt ce choix, mais j’aurais volontiers voté pour Uncharted 4 qui m’a vraiment marquée. D’ailleurs celui-ci a remporté le prix de la meilleure narration et du meilleur personnage, donc ça va !
Et je suis contente qu’un jeu indépendant, Inside, soit dans la liste des nominés. En tout cas, bravo Blizzard ! Si vous voulez découvrir le palmarès complet de la cérémonie, c’est par là !
Article initialement publié le 9 juin 2016 — Vous n’avez pas pu passer à côté si vous traînez sur Internet : tout le monde adore Overwatch. TOUT. LE. MONDE. Et la terre entière a raison, puisque c’est effectivement un très bon jeu. Si vous n’êtes pas encore convaincu•e, laissez-moi vous expliquer pourquoi.
Overwatch est sorti le 24 mai sur PC, PS4 et Xbox One. Dernier né du studio Blizzard — déjà à l’origine, entre autres, de World of Warcraft et Hearthstone, le jeu a été proposé gratuitement en bêta pendant une semaine au mois de mai.
Suite à ça, beaucoup ont été complètement charmé•es
et ont décidé d’acheter le jeu. Ils sont malins chez Blizzard, puisque sept millions de joueur•ses se sont déjà laissé•es tenter !
C’est parti pour la bagarre sur Overwatch
Mais commençons par le commencement : Overwatch est un shooter massivement multijoueur. Chaque équipe est composée de six personnages.
Le but, dans tous les cas, c’est de se foutre sur la gueule (sinon c’est pas drôle).
Le défi change selon la map : on peut avoir pour mission de défendre une zone, d’escorter un véhicule en mouvement… sachant que le but, dans tous les cas, est de se foutre sur la gueule (sinon c’est pas drôle).
Les maps sont plutôt nombreuses et toutes très belles, avec chacune leur ambiance — puisqu’elles se situent dans différents pays. C’est un point très positif, sans compter que Blizzard a l’intention de rajouter par la suite (et gratuitement) des maps et de nouveaux personnages jouables.
Plusieurs personnes m’avaient dit « Moi j’aime pas trop les shooters mais celui-là, j’avoue qu’il est cool ». Je m’attendais bêtement à quelque chose du genre Splatoon. C’est un peu le jeu qui m’a réconciliée avec le genre : je suis une ÉNOOORME fan de Splatoon, vous n’imaginez pas à quel point.
Alors spoiler alert : Overwatch n’a rien à voir avec ce dernier. Mais c’est quand même extrêmement bien, même pour celles et ceux qui n’aiment pas les shooters.
Overwatch et son immense galerie de personnages
L’énorme point fort du jeu, c’est évidemment son choix niveau héro•ïnes : dès le début, on a accès à la totalité des personnages jouables, soit vingt et un en tout.
C’est plutôt cool sachant qu’en règle générale, au début d’un jeu, on doit plutôt jouer des rôles de base, puis débloquer les autres au fil du temps. Et j’insiste sur le fait qu’un personnage est systématiquement égal à un gameplay : chaque héro•ïnes a ses attaques, ses façons de se battre.
Du coup, on est d’accord que c’est cool parce que chaque type de joueur•se y trouvera de quoi se faire plaisir. On se retrouve avec une énorme galerie de personnages tous plus variés les uns que les autres, aux looks vestimentaires, aux physiques et aux caractères très distincts. ET C’EST TROP BIEN.
Qui je vais jouer ? QUI ?
En clair, on peut aussi bien y jouer une culturiste aux cheveux roses qu’un gros chevalier avec une énorme armure, ou encore un homme cochon.
En fait, il y a peu de chances de galérer dans le jeu, à partir du moment où on a trouvé les héros qui nous correspondent. Moi, par exemple, je suis totalement in love de Symmetra. C’est ma best. Parce qu’elle peut poser des tourelles qui énervent les ennemis et des portails pour aider les copains.
Ça, c’était au bout d’une heure de jeu. Merci au revoir.
Côté représentativité, on se pose là : il y a des gros•ses, des minces, des petit•es, des grand•es, et plein de couleurs de peau différentes. Les filles sont nombreuses même si, malheureusement, certaines sont assez sexualisées.
La diversité des gameplays liée aux nombreux personnages aide déjà à rendre le jeu accessible à un maximum de personnes. Mais les règles en elles-mêmes sont assez simples à comprendre quand on prend le temps de se pencher dessus.
Côté représentativité, on se pose là. Les personnages féminins sont nombreux même si certains sont hyper sexualisés.
Disons que c’est pas League of Legends. Voilà, je l’ai dit. En plus, le jeu trie automatiquement les joueur•ses par niveau pour que chacun se retrouve face à des adversaires de sa trempe. Et je peux vous dire que c’est plutôt sympathique quand on passe ses week-ends à jouer à Splatoon où on est niveau 20 et où on affronte des gens de niveau 50.
Alors, est-ce que vous devriez jouer à Overwatch ? OUI. Oui, parce que ça défoule après une journée de boulot, parce que c’est pas super difficile, et aussi parce que c’est foutrement beau.
Si le jeu vous intéresse, il est disponible sur PC, PS4 et Xbox One !
Les Commentaires
J'avoue qu'Overwatch a l'air cool mais j'ai toujours eu tendance à attendre qu'un fps passe en free to play ou passe à moins de 20€ avant d'y jouer :3
Donc ça sera non pour moi (pas encore du moins). De toute façon j'ai du temps à jouer pour boucler the Witcher 3 (l'amour de ma vie) donc ça attendra. hihihihi