- Prénom : Juliette
- Âge : 32 ans
- Lieu de résidence : Angers (Maine-et-Loire, 49)
- Personnes vivant sous le même toit et leur âge : mon conjoint de 35 ans et notre fille de 2 ans et demi
- Revenus du foyer : 4 500 €
- Budget courses mensuel : environ 550 €
- Spécificités alimentaires : aucune, nous mangeons de tout.
Les achats alimentaires réguliers de Juliette et sa famille
Chaque semaine, nous achetons des œufs pour différentes recettes (omelettes, crêpes, gâteaux…), du poulet, qui est notre principale source de protéines, et puis du riz, des pâtes et des pommes de terre comme féculents.
Pour les légumes, on fait attention à les sélectionner de saison, pour manger sain et local, et on prend régulièrement des avocats, ainsi que des kiwis et des bananes pour le dessert. On retrouve aussi dans notre panier du beurre pour la cuisson des aliments, des yaourts et des compotes.
Notre fille s’alimente avec ce qu’elle aime. Ça peut changer d’un jour à l’autre mais elle goûte de tout. On lui propose des plats variés et équilibrés, avec des protéines, des féculents, des légumes, et elle adore les fruits.
Les enseignes fréquentées par Juliette et sa famille
Pour nos achats alimentaires, on mixe le drive Leclerc 2 à 3 fois par mois, et le marché local chaque semaine. On sélectionne des marques autant haut de gamme que premiers prix. En fait, on a testé différents produits pour trouver ceux que l’on préfère.
Priorité aux produits locaux et de saison
Pour choisir nos produits au marché, on privilégie les filières courtes et les fruits et légumes de saison. C’est facile d’identifier les producteurs locaux et on les connaît bien à force. On discute avec eux de leur façon de produire, on sait qu’ils ne traitent avec des produits chimiques que quand c’est nécessaire.
Le bio n’est pas un critère de choix. Au contraire, on a remarqué que certains fruits bio périment plus rapidement et donc nous gâchons. Mais il nous arrive d’en consommer, même si le coût constitue un vrai frein.
Le côté travaillé, mais à un coût bien moindre avec HelloFresh qu’en livraison
Nous aimons cuisiner ensemble ou à tour de rôle, surtout des repas qui sortent de l’ordinaire. On vient d’essayer l’offre d’HelloFresh sur une semaine, pour six repas pour Valentin et moi. On a sélectionné les recettes sur le site internet hellofresh.fr, en indiquant le nombre de personnes, puis on a reçu une box chez nous avec tous les ingrédients et les fiches recettes.
C’était d’autant plus agréable de pouvoir s’amuser en cuisine sans se casser la tête à trouver une recette, et de manger des plats de qualité et nouveaux. Notre meilleure découverte, c’était la mjadra libanaise. Avec les petits oignons grillés, le labneh, les épices, les herbes aromatiques, c’était vraiment excellent, pour un temps de préparation de seulement 20 minutes. C’était intéressant d’avoir le côté plat travaillé, mais à un coût bien moindre qu’en livraison. On renouvellera l’expérience de temps en temps !
Réduction du gaspillage alimentaire et considération écologiques
C’est très important pour nous de ne pas gaspiller. On pèse les aliments quand on cuisine pour éviter des restes trop conséquents.
Avec HelloFresh, c’est plus simple car on reçoit directement les ingrédients dans les bonnes quantités pour les recettes que l’on va faire, sans risque d’acheter trop, ou alors des aliments que l’on utilisera finalement pas et qui finiront à la poubelle. Et comme les portions sont généreuses, quand nous avons tout de même des restes, Valentin les réchauffe plus tard dans la semaine.
On commence aussi à sensibiliser notre fille avec des petites phrases par ci par là sur le gaspillage alimentaire (ndlr : selon une étude*, pour 39 % des Français ce sont les enfants qui gaspillent le plus au sein du foyer, alors c’est important de commencer tôt l’éducation sur le sujet !).
HelloFresh vous propose un abonnement flexible que vous pouvez mettre en pause ou résiliez quand vous voulez (même après la première box).
Avec le code MADMOIZELLEF4L bénéficiez de jusqu’à 85€ offerts sur vos quatre premières box et des desserts à vie.
En plus d’acheter local et de saison, on a aussi réduit notre consommation de viande et de poisson pour des raisons écologiques, soit dans la quantité des portions soit dans la fréquence. Aujourd’hui, nous en mangeons dans 10 repas sur 14.
Gestion du pouvoir d’achat
On n’achète donc plus de viande rouge aujourd’hui, aussi pour des raisons budgétaires. Avec l’inflation, on a limité le bio, on fait un peu plus attention aux prix et on remet en question la nécessité de consommer certains aliments (fromages, crèmes…). Même si je ne peux personnellement pas me passer de fromage !
*Étude Censuswide pour HelloFresh réalisée du 29 juin au 17 juillet 2023 sur 1016 personnes représentatives de la population nationale française âgée de 18 ans et plus.
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