Note à l’attention des paparazzi : l’enfer vous guette

Ce papier aurait pu s’intituler « Nicole Richie à la rage », mais étant donné que Nicole et moi partageons la même vision des choses, laissons-ça comme ça.

En effet, l’ex-meilleure amie boulotte de Paris Hilton a posté une lettre ouverte à X17, agence de paparazzi dirigée par un français et connue pour ses méthodes peu orthodoxes. En temps normal, je suppose que Nicole Richie n’aurait pas pris la peine de balancer sa bile à la tronche de X17. La plupart des starlettes poursuivie 24h sur 24 sont manifestement agacées, perplexes et/ou exaspérées face aux pratiques des photographes (pirouette sous les roues de leur voiture, flash sous la jupe, insultes gratuites etc.), mais les seules fois où elles pètent un plomb, c’est quand leurs parasites s’en prennent à leurs enfants.

Je vous traduis brièvement le bousin : « Cher X17, MERCI d’avoir posté une vidéo de vos salariés assis devant l’école de ma fille, maintenant le monde entier peut voir à quelle point vous êtes flippants et abjects […] Je ne suis même pas là, donc vous ne pouvez pas dire que c’est moi que vous suivez. Vous suivez des enfants. […] Vous avez intérêt à être parfaitement en règle, et à savoir parfaitement ce que vous faites, parce que si j’en chope un seul qui a un permis de conduire expiré, retiré ou restreint, je le ferais envoyer en prison avant qu’il est le temps de décrocher son téléphone pour appeler ses avocats« .

Wow. Quelqu’un est en colère on dirait. Je peux tout-à-fait visualiser Nicole Richie, les yeux révulsés, tapant frénétiquement sur son clavier pendant qu’Harlow mange sa crotte de nez. Mais fondamentalement, Nicole a raison. Car l’argument numéro un des paparazzi c’est « vous avez décidé d’être des célébrités, vous savez à quoi vous attendre, cela fait partie du job ». Cet argument ne tient que pour des personnalités, pas pour leurs mouflets qui, eux, n’ont rien demandé, et pourraient tout aussi bien avoir envie de bosser dans la finance d’ici quelques années. Il y a peu de chances que cela leur arrive, mais c’est à eux d’avoir le choix.

Donc je ne pensais pas dire ça un jour, mais Nicole, je suis de tout cœur avec toi.