D’aussi loin que je me souvienne, j’ai toujours fantasmé sur des hommes ayant un côté bad boy ténébreux très développé. Et surtout, j’ai toujours été extrêmement attirée par ceux qui n’ont pas un visage lisse et parfait, qui ont ce que l’on appelle « une gueule ».
Les faciès de chanteurs de boys band m’ennuient : je les préfère quand ils sont parsemés de petits défauts, qui, pour moi, font tout leur charme !
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Et s’il y en a bien un qui fait fondre mon slip depuis que je l’ai découvert en regardant The Walking Dead, c’est Norman Reedus, a.k.a Daryl Dixon dans la série.
On est qu’au début de l’article et j’ai déjà très chaud
Si mon désir sexuel avait un nom, il porterait celui de ce bellâtre à l’arbalète et à la gueule cassée, qui m’emmènerait loin des zombies sur sa moto. C’est une autre forme de chevalier servant, j’en conviens, mais moi ça me plaît.
Norman Reedus, le mec badass par excellence
Alors c’est vrai que c’est facile d’estampiller Norman « mec badass » vu qu’il tient le rôle du personnage le plus stylé de la série, et peut-être même de l’histoire des mecs stylés, d’ailleurs. Mais c’est que l’acteur l’incarne à la perfection !
Daryl Dixon, au début de The Walking Dead, peut apparaître comme être un antagoniste. C’est un rustre au caractère explosif, qui ne parle pas beaucoup et à qui il ne faut surtout pas chercher des noises. Il est comme ça, Daryl : il impose son style. Et Norman aussi, puisque son jeu d’acteur arrive à nous faire croire que lui et son personnage, c’est bonnet blanc et blanc bonnet dans la vraie vie.
Il faut dire que depuis toute jeune, j’ai toujours adoré les anti-héros dans les films, et les méchants. Je les ai toujours trouvés plus cool, plus intéressants et surtout plus attirants. Du coup, quand mon regard s’est posé pour la première fois sur ce personnage au visage couvert de poussière et de sueur, mon sang n’a fait qu’un tour : d’un coup d’un seule, j’étais amoureuse (et pleine de désir).
Ancien soldat, chasseur de zombies extrêmement doué et as de l’arbalète, le Daryl incarné par mon Norman chéri n’a peur de rien ni personne, et se fout de ce que les gens pensent. Même s’il ne parle pas beaucoup (ce qui cultive son irrésistible côté ténébreux), il n’hésite pas à l’ouvrir quand quelqu’un commence à lui courir sur le haricot. Et ça, pour moi, c’est drôlement sexy.
Son assurance, sa témérité et son côté « je pense beaucoup mais je ne dirai rien, parce que ça ne te regarde pas » me rendent toute chose, que dis-je : me font littéralement fondre le slip, et tous mes vêtements avec.
Le bad boy au grand coeur Mais s’il y a bien un élément qui consolide l’amour et le désir que je porte à mon fantasme de 23 ans mon aîné, c’est bien son côté « j’ai l’air méchant mais je ne le suis pas tant que ça, si tu creuses ».
Parce que oui, Daryl c’est bien plus qu’un rustre du Sud ne se battant que pour sa propre survie. Il devient petit à petit un personnage principal dans The Walking Dead, et pas seulement parce que là où il passe les zombies trépassent (un peu comme Raid avec les moustiques, mais en version apocalyptique).
Il nous montre toute l’étendue de sa gentillesse et de sa sensibilité au fur et à mesure, et évolue en même temps que la série, pour nous prouver que derrière ses muscles et ses coquards, il est un ami fidèle et un homme plus que protecteur, prêt à donner sa vie pour sauver celle des autres.
Norman Reedus faisant imploser mon corps et provoquant une combustion spontanée de mes vêtements.
Daryl n’exprime pas verbalement ses sentiments, mais ses actes le trahissent. Sa sensibilité et ses larmes (parce qu’il n’a pas peur de pleurer, non Madame) m’ont fait chouiner plus d’une fois, et ses rares sourires me comblent de bonheur. C’est ça qui fait aussi tout le charme du jeu d’acteur de Norman Reedus : il nous donne très peu d’éléments pour découvrir quel grand sensible est vraiment Dixon, mais quand il nous le montre, il ne fait pas les choses à moitié.
Un cliché, vous dites ?
C’est sûr que le fait de fantasmer totalement sur le mystérieux Norman Reedus ne doit pas être une chose rare, mais j’assume totalement mon côté fangirl face à ce beau brun aux cheveux longs et aux muscles saillants, dont je rêve des baisers fougueux et sans concessions presque tous les soirs (bon, ok, tous les soirs).
Il est clair que le (faux) bad boy ténébreux et mystérieux, qui nous sauvera des griffes des (vrais) méchants, hante les nuits de bon nombre de gens… et je n’y coupe pas, même si c’est très cliché.
Mais s’il y a bien quelque chose que l’on ne maîtrise pas dans la vie, c’est bien l’attirance physique et sexuelle, et quand je vois le visage imparfait de Mr Reedus, et sa badasserie à toute épreuve (à la vie comme à l’écran), je ne réponds littéralement plus de moi.
Alors, Norman, si tu me lis, toi et moi, c’est où tu veux, quand tu veux.
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