Cette semaine c’est la fête des pères, alors j’ai eu envie de me pencher, avec d’autres rédactrices, sur ces papas de la pop culture aussi inspirants que cool !
Mon choix s’est tout naturellement porté sur Nigel Delajungle, le père d’Élisa dans La Famille Delajungle.
À lire aussi : Keith Mars, ce papa extraordinaire et nuancé
Déjà, Nigel est reporter animalier : rien que son métier en jette. Ensuite, il partage un peu de la coolitude de son boulot avec sa famille en l’emmenant faire le tour du monde en camping-car avec lui : le gars est généreux.
Il est surtout vachement drôle
En tant que papa, le mec se pose là : il encourage et aime tous ses enfants de manière identique, même s’ils ne sont pas toujours les gars les plus sympas de la Terre avec lui : Debbie le traite de plouc en permanence, Élisa fait sa vie et le prend un peu pour un mec chelou (super) et Denis ben… il fait des bruits de pet.
Nigel est un grand heureux.
Pourtant il est super cool ! C’est un peu lui qui a tout appris à Élisa et grâce à qui, par extension, elle a la capacité de parler aux animaux. BG.
Il est fasciné par tout. En comparaison, l’optimisme lui-même voit le verre à moitié à vide. Nigel est un grand heureux, il kiffe la vie, il kiffe ses gosses, les animaux et sa zouz. Mais surtout, il kiffe le rire et est toujours partant pour une petite blague, même dans les pires situations.
Il n’y a pas un moment où il ne voit pas le côté positif des choses, même quand il est capturé par des brigands ou que sa chaussure vient d’être croquée par un requin. Très chill comme mec.
Je crois que c’est un des trucs qui fait que le père Delajungle, non seulement tu ris à ses vannes, mais en plus tu t’y attaches. Sa maladresse et son regard bienveillant envers la vie mettent plus de baume au cœur que le plus beau des camping-cars (et pourtant j’adore ça, les camping-cars).
À lire aussi : Mon père, une précieuse demi-heure par semaine — Fête des pères 2016
Quand j’étais petite, à l’inverse de Debbie, je rêvais de partir au bout du monde au lieu d’aller dans une école traditionnelle, et Nigel, c’était un peu le papa aventurier de rêve : grâce à lui, tu pouvais rencontrer des gens originaires des quatre coins du globe mais aussi tout plein d’animaux !
En plus, il est toujours derrière ses enfants, il les soutient dans tout ce qu’ils font, essaie de leur faire découvrir le monde tout en gardant sa joie de vivre, bref, « parenting goal » comme dirait l’autre.
Il est vraiment enthousiaste.
Et puis, combattre les contrebandiers et les braconniers entre deux escales, c’est pas le premier péquin qui ferait ça.
Bon, maintenant que je suis adulte je comprends un peu Debbie, c’est quand même chaud de partir loin de tout et d’être obligée de voyager sans cesse… Après, je suis pas à sa place, mais je pense qu’adulte elle sera contente d’avoir vécu ça et d’avoir eu les meilleurs parents.
À lire aussi : « On n’est pas Rothschild » : ces expressions qu’on retrouve chez tous les darons
Finalement, Nigel c’est le papa inspirant, un peu fou mais hyper attachant et surtout vachement courageux. Mon daron sûr, après le mien quoi.
Vous aimez nos articles ? Vous adorerez nos podcasts. Toutes nos séries, à écouter d’urgence ici.
Les Commentaires