« Je crois que c’est l’insouciance qui me manque le plus ». C’est à partir de cette phrase, prononcée par une femme malade du cancer depuis plusieurs années, que la Fondation Mimi et l’agence Leo Burnett France ont imaginé le beau projet Ne serait-ce qu’une seconde.
Vingt personnes malades ont participé à une séance de relooking sans pouvoir se voir. Elles ont ensuite été installées, les yeux clos, devant un miroir sans tain. Caché derrière, le photographe Vincent Dixon était présent pour immortaliser leur toute première réaction à la vue du résultat.
Voici un petit film documentant le projet. Si, comme moi, tu as la larme facile, tu peux déjà sortir un mouchoir.
C’est drôle, émouvant, et ça donne envie de croire en l’avenir et en l’humanité, « ne serait-ce qu’une seconde ».
Un livre regroupant toutes les photos est disponible pour 60€. Les bénéfices de la vente sont intégralement reversés à la Fondation Mimi pour le soutien aux malades du cancer.
Et si le film que vous alliez voir ce soir était une bouse ? Chaque semaine, Kalindi Ramphul vous offre son avis sur LE film à voir (ou pas) dans l’émission Le seul avis qui compte.
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