Le musée des saletés de colocs, par Justin Cousson sur twitter

Comment lutter contre le désordre compulsif de vos colocataires ? Justin Cousson a inventé sa propre solution, en créant un Musée du désordre.

La vie en coloc est parfois nivelée de petites et grosses contrariétés. Ça va du coloc qui laisse traîner son petit déj à celui qui n’a pas payé son loyer depuis trois mois.

Mais même les petites manies, le désordre discret mais régulier, fissent par taper sur les nerfs.

Justin Cousson a tout essayé pour inciter ses colocs à ranger leurs affaires et netoyer leurs saletés. Mais comme ça ne marchait pas, en désespoir de cause, il a décidé de passer du côté passif-agressif de la force.

Comment ? En traitant leur désordre comme des oeuvres d’art !

Découvrez donc le petit Musée de la calamité monté par Justin Cousson et dévoilé sur son compte Twitter !

My passive-aggressive art gallery is thriving, although some critics don't care for my emphasis on found pieces. pic.twitter.com/qp9hJ651tW

— justin L! cousson (@justincousson) March 16, 2017

Découvrez par exemple cette magnifique « cuillère couverte de crème, laissée dans l’évier avant que son propriétaire ne quitte la ville pendant quatre jours ».

Or, "Midnight Snack." pic.twitter.com/UWpCglu0o1

— justin L! cousson (@justincousson) March 22, 2017

Et que dire de cette oeuvre sobrement intitulée « choisissez votre arme » ?

I must inform you that reports the exhibition is complete are, in fact, inaccurate. pic.twitter.com/kZs39rBuZw

— justin L! cousson (@justincousson) March 18, 2017

Craquez devant ce « Lait oublié, laissé à moisir dans le frigo bien après sa date de péremption ». J’en pleurerais d’admiration.

Le passif-agressif serait-il la clef pour lutter contre des colocs récalcitrants ? Entre cette exposition et

la vidéo pour apprendre à faire la vaisselle, la question se pose !

J’ai hâte de rentrer chez moi et d’aller prendre en photo le magnifique « mégot laissé sur la table de la cuisine avant d’aller dormir ».

Bon, je râle mais en réalité c’est aux proprios que j’en veux.

Ces artistes nous encombrent avec leur « énorme flaque progressant dans la cuisine parce qu’ils refusent de payer le plombier », ou leurs « magnifiques pièges à souris parce que le dératiseur c’est pas leurs oignons non plus ». Parfois, ce ne sont pas les colocs qui sont les plus pénibles…

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