Publié le 30 novembre 2018
J’ai fait mes études à Grenoble.
Vous l’ignorez peut-être mais à Grenoble, les gens font soit du ski, soit de l’escalade, soit les deux. Je ne me suis guère laissée tentée par ces activités, notamment parce que ses promoteurs portent des vêtements recouverts de poches et utilisent des mousquetons en guise de porte-clés.
Mais si ce mur d’escalade érotique avait existé, j’aurais sans doute sauté… le pas.
Un mur d’escalade aux prises érotiques
Les designers Bompas et Parr ont imaginé un mur d’escalade sexuel baptisé Grope Mountain, soit à peu de choses près « la montagne du pelotage ».
En lieu et place des habituelles prises : une paire de fesses, un sein, une verge tendue… Ah ben, tout de suite ça motive à aller plus haut !
Le projet a été inauguré en 2015 pour le Museum of Sex de New-York, dans le cadre de l’expo FunLand. Conçu comme un véritable parc d’attraction érotique, on y trouvait un château gonflable en nichons, un labyrinthe à la recherche du Point G et ce mur aux prises tendancieuses donc.
Oh la belle prise
Escalader des zizis pour accepter son corps
Hormis la rigolade, l’objectif de cette création est de proposer une expérience originale de notre rapport au corps.
Pour le co-fondateur du studio de design Harry Parr, ce mur du tâtonnage est un hommage à la beauté du corps et une façon d’accentuer la connotation érotique de l’escalade (qui m’avait pas frappée tout de suite à Grenoble) :
« Grope Mountain allie le sport et la sensualité à la joie de la réalité physique, à la sensation du toucher et au délice du corps dans des postures allongées. »
Un athlète heureux
Physique, marrante et subtilement érotique, c’est peut-être bien
la meilleure idée de date de l’année. Alors jeune grimpeuse, vous montez ?
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Les Commentaires
J'ai jamais réussi à décrypter le smiley à lunette auparavant.