Madmoizelle est aussi sur
Ève, 42 ans : « Quand il m’a demandé où était le nettoyant après six mois de vie commune, j’ai pleuré »
Joséphine, 22 ans : « Concernant mon féminisme, je me demande souvent si je suis dans l’excès »
Elia, 26 ans : « J’ai fait une croix sur beaucoup de milieux dont je sais qu’ils sont remplis de personnes oppressives »
Lily, 21 ans et son éveil féministe : « Je n’ai plus de jugement face à la personne sexiste que j’étais »
Célia, 24 ans : « J’ai compris l’importance du féminisme en jouant au Trivial Pursuit »
Sandrine, 48 ans : « J’en demandais plus à mes filles qu’à mon fils pour les tâches ménagères »
Suzy, 27 ans : « Aujourd’hui, j’ai peur d’avoir des relations sexuelles avec les hommes »
Ed, 38 ans : « Je vois le couple classique plutôt comme une TPE que comme une relation »
Euphémie, 28 ans : « Pour moi, on ne peut pas être féministe et de droite »
Maëva, 20 ans : « Ma famille s’obstine à défendre des personnes indéfendables »
Augustine, 25 ans : « Je me considère comme misandre »
Laura, 37 ans : « Parfois, je regrette d’être devenue féministe »
Jeanne, 20 ans : « Mon frère trouve que je pars trop loin avec mes discours féministes »
Maëlle, 20 ans : « Je n’ai jamais autant subi de sexisme que sur les applications de rencontre »
Éloïne, 22 ans : « J’essaie de modifier les automatismes sexistes de ma famille mais je me sens de plus en plus éloignée d’eux »
Elsa, 36 ans : « Chaque jour, à travers les yeux de mes enfants, je réalise à quel point le patriarcat est ancré »
Lucie, 31 ans : « Il n’a pas supporté que je lui explique mon travail, que je connais évidemment mieux que lui »
Damiana, 43 ans : « Je suis devenue féministe sans m’en apercevoir »
Valentine, 27 ans : « Notre sexualité dépendait uniquement de son désir »
Sasha, 21 ans : « Mon éveil féministe s’est fait par la colère »
Carole, 45 ans : « J’élève deux garçons et un conjoint »
Raphaëlle, 26 ans : « Quand je lui ai parlé du féminisme, mon père m’a reproché de devenir chiante »