Le Mondial du Tatouage remet ça pour une édition 2017 à la Grande Halle de la Villette ! Plus de 420 tatoueur•ses et, comme toujours, des concerts, des expos, du whisky et beaucoup de gens avec de l’encre sous la peau.
Cette année encore, la programmation est si ouf qu’elle risque de te donner envie de planter ta tente à la sortie du métro Porte de Pantin. Après une première sélection, voici la suite des tatoueur•ses à retrouver le premier week-end de mars !
Mr. Ping Pong (Australie)
Mr. Ping Pong est un artiste thaïlandais basé en Australie, adepte du mélange original des genres avec un nom qui transpire l’auto-dérision. Des traits fins, une maîtrise parfaite des couleurs…
Bref, si tu aimes les tatouages d’animaux humanisés, les grosses fleurs et les inspirations asiatiques, tu devrais noter son nom en gras sur ton itinéraire de visite de la Grande Halle de la Villette !
Gakkin (Pays-Bas)
Il y a des tatouages jolis, discrets et… impressionnants. Si on devait classer le travail de cet artiste, il ferait définitivement partie de cette dernière catégorie.
Maître des larges aplats noirs et des motifs géométriques, les œuvres de Gakkin sont d’autant plus folles qu’elles sont réalisées en freehand (c’est-à-dire sans stencil posé au préalable sur la peau). On part sur une base de gros BG, donc.
Kim Ai (Montpellier)
À partir du moment où une artiste arrive à transformer un sushi-crevette en tatouage ultra-mignon et méga-désirable, je pense qu’on peut parler de petit miracle. Cesse d’allumer des cierges, le Mondial du Tatouage exauce tes prières.
La bonne nouvelle, c’est que Kim débarque avec une montagne de flashs qui crient très très fort à ta peau de les adopter. Tremble Livret Jeune Sociétaire.
Matthew James (Royaume-Uni)
Il y a des tatouages qu’on n’oublie pas et des tatoueur•ses qui savent parfaitement comment s’y prendre. Matthew James débarque tout droit du Royaume-Uni pour présenter ses œuvres impressionnantes de réalisme et de symboles.
En noir, gris et blanc, il transforme l’encre en tableaux, avec poésie, transparence et émotion. Un artiste comme on en fait peu !
Amy Mymouse (Belgique)
Amy Mymouse débarque de Belgique avec ses animaux aux gros yeux et ses femmes-poupées à la beauté inquiétante et aux moues boudeuses.
Si tu en as assez des classiques pin-up et que le trop plein de mignonnerie te donne des boutons derrière les cuisses, je te conseille de te poster devant son stand, les bras en croix, et de ne plus en partir. Jamais.
Jimmy Shy (Taïwan)
Des lignes et des couleurs prononcées. Des thèmes old-school avec une belle touche asiatique. Voilà l’idée, si on devait résumer en quelques mots le beau travail — hommage aux codes traditionnels — de Jimmy Shy.
Le Mondial du Tatouage, c’est l’occasion de croiser des tatoueur•ses du monde entier… et de t’éviter le vol jusqu’à Taipei !
Lehel Nyeste (Hongrie)
Lehel Nyeste est un artiste hongrois qui n’a pas peur de manier formes et couleurs pour un résultat unique, qui peut piquer (un peu) la rétine.
Animaux façon cartoons ou encore scènes surréalistes et abstraites, ses tatouages ont quelque chose d’hypnotisant !
Otto Dambra (Royaume-Uni)
Tatoueur et illustrateur, Otto Dambra puise son inspiration dans les gravures qu’il réalise également sur papier et vieilles pages d’encyclopédies.
Ses tatouages rappellent les anciennes études médicales. Ça leur donne un petit côté étrange, presque dérangeant. Donc c’est forcément hyper intéressant.
Ivana Belakova (États-Unis)
Mélange d’effet aquarel, brush, marqueur, traits fins, traits larges : cette tatoueuse américaine en a sous le dermographe.
Si tu rêves d’une œuvre à part entière, unique ; et que l’idée d’avoir un bras multicolore ne te fait pas peur, fonce la rencontrer les 3, 4 et 5 mars !
Fatmanu (Tours)
La France est un vivier d’artistes talentueux, qui n’hésitent pas à manier humour et dérision pour des tatouages qui ne demandent qu’une cuisse afin de s’exprimer.
Fatmanu bosse au Coco Bongo Tattoo Club, à Tours, où il peint des bêtises intelligentes et te les pique sous l’épiderme. Il n’a malheureusement plus de place pour ces trois jours, mais plein d’originaux à vendre. Le succès, tous ça, tout ça.
Alors, tu frétilles du postérieur au rythme des aiguilles ?
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