C’est le genre de coup d’éclat qui fait que Miley Cyrus reste une grande gueule attachante dans le paysage de la pop actuelle.
En concert le 4 juillet à Las Vegas au Resorts World, arborant un look eighties entre Kim Wilde et Tina Turner, la chanteuse a profité d’un de ses plus fameux tubes, le très patriotico-pop Party In The U.S.A., pour marquer son soutien à Britney Spears, sous tutelle depuis 2008, et qui a récemment fait connaître les abus et les restrictions qu’elle a subies pendant des années.
« Fuck Jay-Z, free Britney ! »
Car oui, si vous avez encore bien en tête ce tube de la fin des années 2000 (avant que Miley Cyrus n’entame son grand virage et s’émancipe de son image très Disney), Britney est bien citée dans la chanson originale, mais Miley Cyrus en a copieusement rajouté une couche en hurlant « FREE BRITNEEEEEEY », aussitôt reprise par le public :
Elle s’est même fendue d’un « Franchement, fuck Jay-Z. Libérez Britney ! Libérez Britney ! », avant de se reprendre car bon, on ne peut pas s’en prendre à Jay-Z comme ça :
« On adore Jay-Z mais on doit libérer cette meuf ! Putain, ça me stresse trop ! »
Une façon utile de faire savoir que le public soutient Britney Spears dans son combat pour la levée de sa tutelle. Et surtout un geste de solidarité qui montre que les pop stars n’en sont plus à se tirer dans les pattes
comme on a longtemps voulu le faire croire…
La rumeur court, même si elle est à prendre avec des pincettes : Mariah Carey, Miley Cyrus, ou encore Paris Hilton seraient carrément en ordre de bataille pour aider financièrement Britney Spears à retrouver son autonomie et son indépendance.
Miley Cyrus enchante Vegas
On le sait, Miley Cyrus est une championne quand il s’agit de faire des reprises. De Jolene à Doll Parts, en passant par Heart Of Glass, elle a repris les meilleures et n’a jamais déçu.
Quelle plus belle occasion que d’être à Vegas pour reprendre le classique des Cocteau Twins, Heaven Or Las Vegas, une chanson que « personne ne connaît » selon ses dires. Bon, ce n’est pas tout à fait vrai, mais l’important, c’est que la reprise est une fois encore magistrale :
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