Cet article a été rédigé dans le cadre d’un partenariat avec le Nikon Film Festival. Conformément à notre Manifeste, on y a écrit ce qu’on voulait.
Le thème du Nikon Film Festival cette année, c’est « Je suis un cadeau » alors forcément, beaucoup de courts-métrages tournent autour de Noël ou des anniversaires.
Mais, Je suis mes 8 ans m’a particulièrement touchée autant dans sa manière d’aborder que dans son interprétation.
Ce court-métrage a été réalisé par Nouritza Emmanuellian. Margaux avait déjà parlé de cette réalisatrice l’année passée, à l’occasion de son court intitulé Je suis une petite attention.
Je suis mes 8 ans, un cadeau qui n’a pas de prix
Clique sur l’image pour voir le court-métrage !
Dans ce court métrage, on suit Simon et sa mère. Après s’être fait mettre à la porte par le propriétaire de leur logement, ils se mettent en route dans leur R5 de compétition.
C’est l’anniversaire de Simon… il a 8 ans. Alors, il voudrait bien son cadeau. Mais pas d’emballage à déchirer ou de joli ruban pour cette fois, juste un moment passé à deux sur les routes de campagne en tenant le volant de la R5.
Cette histoire m’a émue, je la trouve vraiment très jolie et j’ai le sentiment qu’elle parlera à beaucoup de personnes. Personnellement, je me suis revue sur les genoux de mon père à tenir le volant dans des chemins boueux.
J’ai aussi trouvé la réalisation et la photographie du film très réussie. Mais surtout, surtout… Parlons de la bouille si mignonne du jeune interprète de Simon.
Peut-être que je suis complètement gaga comme une vieille tante, mais c’est un pipou de haute voltige quand même !
Puis mon côté mélomane n’est pas en reste car c’est la douce musique de l’Impératrice qui clôt à merveille l’histoire.
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