Libération
a interrogé plusieurs médecins pratiquant des IVG (gynécologues-obstétriciens, responsables de centres IVG, généralistes, chefs de service obstétrique…) pour faire le point sur cet acte légalisé il y a 40 ans par la loi Veil.
À lire aussi : La Loi Veil a 40 ans, mais le combat pour le droit de choisir est toujours d’actualité
Légalisé, certes, mais pas forcément rentré dans toutes les mœurs pour autant. Sans tabou, sans langue de bois, ces professionnel•le•s évoquent ce qui les a mené•e•s à pratiquer des IVG, mais aussi les clichés qui entourent cet acte (comme le fameux « avortement de confort ») et la façon dont il est considéré. Ils et elles partagent le même leitmotiv : prendre soin de leurs patient•e•s, ne pas leur faire mal, les aider avant, pendant et après leur IVG.
Médecins et IVG : « On n’est pas des parias. On est gynécos, accoucheurs, avorteurs »
Pensez-vous que l’IVG est un droit « en sécurité » en France ? Seriez-vous prêt•e•s à le défendre s’il était remis en question ?
À lire aussi : Tu vois des pubs anti-IVG sur Facebook ? Ce n’est pas un hasard
Écoutez Laisse-moi kiffer, le podcast de recommandations culturelles de Madmoizelle.
Les Commentaires