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Pourquoi Marc Levy m’accompagne chaque été depuis 17 ans

L’horizon à l’envers, le dernier roman de Marc Levy vient de sortir en format poche. L’occasion pour Aki de revenir sur cet auteur qu’elle lit chaque année depuis Et si c’était vrai ?.

Cet article a été rédigé dans le cadre d’un partenariat avec Pocket. Conformément à notre Manifeste, on y a écrit ce qu’on voulait.

À l’occasion de la rentrée littéraire, certains auteurs viennent chaque année présenter leur nouveauté. Et Marc Levy en fait partie. Depuis 2000, l’écrivain français répond présent et rajoute un ouvrage à sa bibliographie (sauf en 2009 où il en écrit même deux !).

Depuis toutes ces années, fidèle lectrice, je n’ai (presque) jamais raté ses nouveautés. Alors quand on a proposé à la rédac de parler de l’auteur et de son dernier titre, je me suis portée volontaire fissa.

C’est avec grand plaisir que madmoiZelle accompagne la parution de L’horizon à l’envers de Marc Levy chez les éditions Pocket, avec 10 exemplaires du livre à gagner !

À lire aussi : Interview de Marc Levy (Les enfants de la liberté)

Comment j’ai découvert Marc Levy

Ma rencontre avec Marc Levy remonte à Et si c’était vrai ?, son premier roman. Eh oui, j’étais là depuis le début.

C’était la première romance « d’adultes » que je lisais, du haut de mes pas tout-à-fait dix ans. L’ouvrage m’était interdit par ma mère bien stricte, mais une adulte moins regardante me l’avait prêté en vacances.

Pour vous donner une idée de mon type de lecture à l’époque, je venais d’entamer le collège, les Harry Potter et je dévorais toutes les sagas fantastiques jeunesse… Et si c’était vrai ?, c’était quelque chose de différent.

Depuis, j’associe toujours la lecture d’un Marc Levy aux vacances estivales et au goût de l’interdit.

À lire aussi : Sélection de livres à glisser dans sa valise pour les vacances

Je ne vous dis pas ma joie quand le livre a été adapté en film en 2005 avec Reese Witherspoon et Mark Ruffalo ! J’avais trouvé ça dingue qu’un auteur français actuel se fasse adapter par les Américains.

C’est à ce moment-là, je crois, que j’ai percuté à quel point Marc Levy était connu. 

Marc Levy, auteur omniprésent depuis ma jeunesse

Pour moi, Marc Levy est un peu le Nicholas Sparks français : deux auteurs qui manient parfaitement les émotions.

Son homologue américain avait sorti Les pages de notre amour (adapté en film, N’oublie jamais), quand le Français avait écrit Sept jours pour une éternité

Je le confesse, j’ai mis Marc Levy entre parenthèse en 2012 et 2013. Je n’ai pas lu les deux ouvrages parus ces années-là, et je suis en train de me demander s’il ne faudrait pas que je les rattrape !

Marc Levy, c’est une lecture-doudou. Je retrouve avec plaisir son style fluide, facile à lire, ses personnages déterminés, et je sais dans quoi je m’engage en entamant un nouvel ouvrage.

À lire aussi : Le snobisme littéraire, une plaie qu’il est possible d’éviter

Marc Levy et ses happy ends inoubliables

Comme dans les contes de fées où l’Amour avec un grand A gagne toujours, les épopées romanesques de Marc Levy finissent très souvent en happy ending.

Quelle que soit la distance géographique ou temporelle, les amants se retrouvent, vivent enfin heureux (avec peut-être beaucoup d’enfants) après des obstacles inimaginables. Ou alors, ça se finit en happy ends comportant néanmoins un aspect tragique… et là, bonjour le torrent de larmes.

Je sais que ces histoires d’amour finissent bien en général ; ce sont les intrigues et conséquences des relations de couple qui me passionnent. Et puis ce qui est émouvant, c’est le voyage, pas la destination !

Quand j’attaque un Levy, c’est pour lire une histoire qui se finit bien. Eh oui, je suis une indécrottable romantique dans l’âme !

À lire aussi : Les films d’amouuuur qui rendent heureux

Le mélange des genres, l’originalité de Marc Levy

Pour toucher un plus large public, l’auteur français se démarque par son mélange des genres.

Dans ses premiers ouvrages, on trouvait une touche de surnaturel : une présence fantomatique (Et si c’était vrai ?), de la prémonition (Le voleur d’ombres)…

Dans son dernier roman, L’horizon à l’envers, Marc Levy se penche du côté de l’anticipation. Et si l’avancée technologique et médicale en neurosciences permettait de sauvegarder la conscience d’une personne pour la transférer dans un autre corps ?

Une question que de nombreux auteurs de genre ont abordée, sans toujours le coupler à l’aspect romance. Et c’est le défi que se lance Marc Levy.

L’horizon à l’envers, le dernier Marc Levy

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Hope, Josh et Luke étudient tous les trois les neurosciences, et forment un trio d’amis très soudé avec des tensions amoureuses de part et d’autre.

Dans la lignée des romans sur la conciliation de l’amour et la maladie, à la Nos étoiles contraires, le dernier roman de Marc Levy, L’horizon à l’envers, transcende le temps et la mort. Deux âmes sont prêtes à tout pour rester ensemble.

Josh et Hope vont tout mettre en œuvre pour ne pas se perdre quand la jeune femme tombe malade. Pour cela, il faut qu’ils fassent preuve d’un acte de foi en leurs travaux : transférer la mémoire sauvegardée de Hope dans un nouveau corps grâce à un logiciel de leur invention, Neurolink.

Au nom de l’amour, ils sont prêts à repousser les limites de la science.

Gagne L’horizon à l’envers, le nouveau Marc Levy !

Pour tenter de remporter un exemplaire de L’horizon à l’envers aux éditions Pocket, il suffit de remplir le formulaire suivant. Bonne chance !

Concours Terminé 

Concours du 29 mai au 12 juin 2017 • Tirage au sort le 13 juin 2017 • 10 exemplaires du livre à remporter • Concours réservé aux personnes résidant en France métropolitaine.

À lire aussi : 5 bénéfices méconnus de l’écriture, cette saine activité


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Les Commentaires

12
Avatar de Lthiz
3 juin 2017 à 11h06
Lthiz
@MelPop21 @Freehug
HS Twilight:
Je ne défends pas spécialement la série, elle a ses défauts.
Dans mes souvenirs - corrigez-moi si je me trompe, l'abstinence n'est (pour une fois) pas présentée comme préservatrice de la pureté de la jeune femme, mais bien comme (en plus du contexte fantastique de l'histoire) le choix/les restes de la foi d'Edward, qui a plus de 100 ans (ce qui peut être aussi offensant pour celleux qui ont fait le choix d'attendre au XXIe siècle mais c'est un autre problème).
3
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