La main dans le sac… d’Émilie !

J’ai l’honneur de vous présenter mon cher et tendre sac du Seigneur des Anneaux, dont je suis très fière ! Il est cool, et ça suffit pour me plaire (en plus il ne coûtait pas cher, ce qui est une qualité aussi, je l’avoue…). Alors évidemment ce n’est pas un sac très « féminin », mais c’est mon sac fétiche à moi, et je l’aime !

Laissez-moi vivre mon amour au grand jour avec lui !

Dans ce sac on trouve :

• Mon portable. Est-ce que j’ai vraiment besoin de me justifier sur le fait de le trouver dans mon sac ? On est bien d’accord, il est indispensable non ?
• Mes écouteurs.
• Mon iPod. Il n’a plus de batterie depuis au moins quatre mois, mais on ne sait jamais…
• Des bracelets.
• Un petit bateau en papier fait par mon chéri, qui ne sert pas à grand-chose, à part me faire rire. (Je parle du bateau, pas de mon chéri…)
• Du gel nettoyant pour les mains.
• De la crème, toujours pour les mains.
• Trois miroirs… Ben quoi, on ne sait jamais !
• Deux peignes — dont un très vieux, je pense que ça se voit.
• Une brosse à cheveux.
• Une montre. Qui n’a rien à faire dans mon sac en fait…
• Des Tic Tac à l’orange. C’est mon péché mignon, j’en ai fait une petite réserve en allant en Belgique, vu qu’en France on est incapables d’en faire sans rajouter ceux au citron vert…
• Encore des Tic Tac à l’orange… Mais attendez, c’était une boîte de 200, une occasion à ne pas manquer !
• Une petite batterie pour recharger mon portable, très pratique !
• Des chewing-gums (je ne suis pas gourmande, non non…).
• Deux boîtes de levure de bière (ça n’a rien à faire dans un sac, je sais).
• Un stick pour les lèvres, totalement indispensable.
• Un autre gel pour les mains, cette fois vide…
• Ma pilule et sa très jolie (rires) boîte bleu, vert et jaune.
• Des médicaments — toujours très pratiques.
• Des stylos.
• Du vernis. On ne sait jamais, si j’ai cinq minutes devant moi…
• Du Doliprane (classique !).
• Mon portefeuille.
• Mon porte-monnaie. Il est encore plus gros que mon portefeuille, mais bizarrement bien plus vide.

Et voilà ce qui est (pour moi) indispensable !