Tels les reptiliens qui se camouflent parmi des membres influents de la haute société, les membres de la communauté LGBT mettent sournoisement en place un lobby dans le but de conquérir le monde, de provoquer la colère de Dieu sur la France, et d’aboutir à l’extinction de l’espèce humaine.
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La colonisation de l’espace, un complot du lobby LGBT
Ils pensaient passer inaperçu, et avaient tenté de camoufler leur dernier coup monté en date. Heureusement, des lanceurs d’alerte sur Twitter ont informé la population mondiale de leur projet sordide : la colonisation de la planète Mars par les lesbiennes.
En 2017, Un article sur The Express Tribune s’intitulait :
« Les missions sur Mars pourraient être exclusivement féminines, afin d’éviter que les astronautes aient des relations sexuelles durant ces voyages d’un an et demi »
Derrière cette idée à l’aspect éminemment brillant, et dont les raisons semblent évidemment légitimes, se cache un sombre tableau.
Car la lecture de l’article glace le sang.
Premièrement, cette annonce aurait été réalisée par Helen Sharman, une femme, donc.
Cette dernière justifie ce choix en citant un rapport « qu’elle n’a jamais vu par elle-même », mais « qui clame que des équipes entièrement féminines seraient la meilleure option ». La raison ? Les femmes « « travaillent » » mieux en équipe.
« « Travaillent » »
Les lesbiennes ont-elles pris le contrôle de la NASA ?
Il n’est pas nécessaire de réfléchir beaucoup plus pour comprendre le sens caché de cette décision. Les lesbiennes, après des années à tenter d’imposer leur modèle politique, ont pris le contrôle de la NASA, et s’apprêtent à mettre en place un processus huilé et machiavélique de colonisation de l’espace.
De là à les imaginer anéantir l’humanité hétérosexuelle, il n’y a qu’un pas.
Anéantissement de la Terre par les communautés LGBT, reconstitution
Il faut également tenir compte de l’argent dépensé par la communauté scientifique internationale pour organiser ces voyages spatiaux, dont le but unique est la domination LGBT ainsi que l’organisation de partouzes pour l’équipage.
Voyages qui pourraient se solder par un drame terrible, par exemple si les équipières venaient à entrer en contact avec des communautés extraterrestres alors qu’elles sont toutes en plein syndrome pré-menstruel.
Alors, en plus de la colère de Dieu, ce serait celle de la vie extra-terrestre sous toutes ses formes qui s’abattrait sur la planète.
Ces femmes affichent clairement leur volonté d’éradication hétérophobe, probablement soutenues par d’autres membres de la communauté LGBT qui agissent dans l’ombre pour leur permettre de mener à bien leur projet.
Comment se protéger de la destruction LGBT ?
Scientifiques de tous bords (enfin, du coup non), agissez.
Pour protéger l’humanité de cette catastrophe quasi-inéluctable à l’heure qu’il est, mobilisez-vous et rejoignez les voyages spatiaux. Ne laissez pas ces femmes partir seules, et prétendre qu’elles ne pratiqueront pas le sexe — autre abomination — pendant un an et demi.
Citoyens, citoyennes, relayez l’information dans vos réseaux. Assurez-vous que vos proches ne sont pas en cours de radicalisation.
Exemple d’acte terroriste commis par des personnes LGBT
Pour cela, vous pouvez regarder dans leur historique de navigation quels
tags porno ils et elles ont recherché durant les 30 derniers jours. Si « gay » ou « lesbian » apparaît plus d’une fois et demi, signalez-le à la police des mœurs.
En cas de doute ou d’absence d’historique de navigation (toujours suspect), appelez directement le 666.
Le destin de l’Univers est entre vos mains.
Pourquoi n’envoyer que des femmes dans l’espace ?
Plus sérieusement, envoyer des équipages exclusivement féminins dans l’espace peut avoir des avantages, comme l’explique un article de Slate paru en 2014.
Selon des études relayées dans ledit article, les femmes dépenseraient moins de calories que les hommes (moins de la moitié), ce qui est significatif dans le cas de missions spatiales.
Ceci est donc une très bonne raison d’envoyer des équipages féminins sur Mars, plutôt que « pour ne pas qu’elles aient de sexe ensemble ».
À moins que Slate ne soit aussi dirigé par des lesbiennes. Dans ce cas, on est tous foutus.
Sauf moi. Moi, je rejoins l’équipage QUAND VOUS VOULEZ. Pour la science, bien sûr.
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