Cet article a été écrit dans le cadre d’un partenariat commercial avec ARTE. Conformément à notre Manifeste, on y a écrit ce qu’on voulait.
Mise à jour du 20 octobre :
Et voilà, tu peux à présent (re)voir la troisième et dernière partie du documentaire Let’s Dance sur ARTE +7 ! Allez, tu seras bien ! (Et moi, je suis très triste que ce soit terminé. Voilà, c’est dit.)
PS : ARTE si tu m’entends, peux-tu réaliser ce type de documentaire sur le théâtre, la musique, le cinéma, TOUTMERCI !
Mise à jour du 17 octobre :
Ce dimanche à 22h25, Arte met le point final à sa trilogie documentaire Let’s Dance. C’est triste, je sais, mais toutes les bonnes choses ont une fin… Dans ce troisième épisode, Let’s Dance s’intéresse au corps, ou plutôt à tous les corps ! La danse n’est ici plus réservée aux corps sublimés et parfaits mais à ceux que l’on attend pas, ou plus. Entre corps sales, vieux, handicapés, la danse est pourtant là. Elle est vivante, et c’est beau.
Et si vous avez raté la deuxième partie, il vous reste encore deux jours pour la revoir en replay !
Mise à jour du 13 octobre :
Le ciel est bleu mais ça ne va pas durer… Si si ! Donc pour combler tes soirées, sache que le documentaire de ce dimanche est disponible sur le replay d’Arte ! Tu as donc 7 jours tout pile pour le (re)voir et réviser tes cours d’anatomie !
Mise à jour du 10 octobre :
Ce dimanche à 22h25, la deuxième partie de la trilogie documentaire Let’s Dance d’ARTE s’intéresse à la nudité ; pourquoi danser nu ? A poil ! explore la libération du corps – et par là de l’esprit – des corps nus sur scène comme dans la rue.
Le bouleversement des codes et des genres est exploré dans l’émancipation de tous les artifices : les corps sont montrés comme ils sont, et la place des danseurs s’en trouve bouleversée.
Et si vous avez raté la première partie, il vous reste encore deux jours pour la revoir en replay !
Mise à jour du 6 octobre :
Ca y’est, le documentaire est disponible sur le replay d’Arte ! Tu as donc 7 jours tout pile pour le (re)voir et tout connaître sur le pied !
Le dimanche soir, c’est pas toujours la joie : on appelle ça le syndromus déprimationi du domincho (non). Mais les trois dimanches à venir vont envoyer du lourd si vous vous calez devant ARTE — et je ne saurais que vous le recommander très très fortement !
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Let’s Dance est une série documentaire écrite par Florence Platarets et Olivier Lemaire et réalisée par ce dernier, qu’il serait plus que dommage de rater.
Une histoire de la danse au vingtième siècle
Le documentaire n’est a priori pas un genre qui (me) fait forcément palpiter, mais vraiment, vous ne risquez pas de vous ennuyer devant celui-ci. Let’s Dance s’adresse à tous les amoureux de la danse, et à tous les autres : il montre avant tout un art vivant, un art du mouvement et en mouvement, en constante évolution, ouvert à toutes les interprétations et à toutes les réappropriations.
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La trilogie trace une histoire de la danse au vingtième siècle d’une façon accessible à tous, dynamique, enlevée, mais aussi fouillée, fine et sensible. Et l’une de ses surprises, c’est que c’est drôle, vraiment !
Les liens entre les différentes danses ne se font pas de façon strictement linéaire ou chronologique : chaque épisode se concentre sur une partie ou un aspect du corps, que ce soit le pied, la peau nue ou le corps tout entier et l’émancipation et l’expression que la danse permet.
« Tout le monde il est beau… »
Et puis cela fait du bien de voir des danses aussi différentes placées sur un pied d’égalité (pardon), et d’avoir une vision qui ne s’arrête pas aux frontières de l’Europe et des États-Unis, ou à celles de la « morale » dominante.
On se balade au Crazy Horse comme sur les scènes contemporaines où tout le monde danse joyeusement (ou non) dans le plus simple pas pareil ; ça saute, ça glisse, ça s’agite tout ce que cela peut tripoter, ça rampe, ça se déhanche et ça twerke sur des musiques très très cool.
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De la danse créée par les miniers sud-africains à la danse traditionnelle indienne en passant par le burlesque, il ressort de Let’s Dance une plénitude galvanisante : que ce soit chez les danseurs, dans leurs mouvements ou la façon dont ils sont filmés et que les images sont montées, une passion et un enthousiasme nous sautent littéralement dessus.
Derrière les différents styles, les danseurs sont montrés comme empreints du même besoin d’expression et de mouvement, et tous expriment un rapport particulier et personnel à leur corps et au monde qui les entoure, toutes périodes et tous milieux sociaux confondus.
Enfin, c’est beau ! Certaines scènes sont des mises en scènes à part entière, et font penser au film documentaire Pina de Wim Wenders. C’est très très bien filmé, ce qui relève tout de même du défi dès qu’on touche à la danse. Et c’est d’autant plus fou dans le premier épisode C’est le pied ! qui s’intéresse… aux pieds.
Le saviez-vous ? Pied se dit pied en flamenco.
Sur ce, je vous laisse baver devant le trailer, et je m’en vais faire le pied de grue devant ma télé.
Ça commence dimanche soir sur ARTE, à 22h25 !
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