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Culture

The Shaggs, rock stars malgré elles — Les Culottées, par Pénélope Bagieu

Chaque semaine, Pénélope Bagieu présente l’histoire d’une femme remarquable, son parcours, ses obstacles, ses échecs et ses réussites.

En cette veille de fête de la musique, Pénélope Bagieu est de retour avec un nouvel épisode des Culottées

, cette fois-ci dédié aux Shaggs. Il s’agit d’un groupe de rock féminin américain des années 80 qui s’intéressait autant à la musique que moi à la nouvelle saison de Game of Thrones, c’est-à-dire pas beaucoup.

À lire aussi : Pénélope Bagieu lance « Les Culottées », des portraits en BD de femmes audacieuses !

Dorothy, Betty et Helen sont nées à Fremont, une petite ville du New Hampshire. Leur père les a forcées à créer un groupe de musique pour réaliser une prophétie qui leur prédisait un avenir radieux.

Malgré un manque de talent évident, le premier et unique album des Shaggs fait partie du top 5 des disques préférés de Kurt Cobain, le chanteur et guitariste du groupe Nirvana.

À lire aussi : Phulan Devi, rebelle en colère et martyre héroïque — Les Culottées, par Pénélope Bagieu

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La suite à lire sur Les Culottées, le blog BD de Pénélope Bagieu

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Les Commentaires

8
Avatar de lafeemandarine
22 juin 2016 à 13h06
lafeemandarine
Triste la passivité de ces filles qui ont dû attendre la mort de ce père pour prendre leur liberté ( l'aîné avait tout de même 26 ans !)

En même temps, quand on est sous l'emprise d'une personne maltraitante, il est très difficile de se libérer. On voit souvent ça dans les cas de violence conjugale: les relations toxiques vous affaiblissent émotionnellement. Et puis, si j'ai bien suivi, aucune n'avait de diplôme ou d'amis, une seule avait un petit copain, elles n'avaient jamais quitté leur ville natale sans papa-maman... Dans ces conditions, c'est difficile de claquer la porte. unno:

Je viens de lire les paroles d'une de leurs chansons, "who are parents". En gros, ça dit: "les parents sont toujours là pour vous, ils vous comprennent et même s'ils ont l'air cruel, ils font ça pour votre bien". On a l'impression que ce que l'auteure pense, c'est "j'écris ce que mon père a envie d'entendre et j'essaie de me rassurer en me mentant très fort à moi-même". Brr, cette chanson fait froid dans le dos...

Une autre chanson parle de "mon compagnon", qui est toujours là quand la chanteuse a besoin de lui et qu'elle adore. A la fin de la chanson, on apprend que le compagnon,
Contenu spoiler caché.
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