C’était un juin 2022. La secrétaire d’État chargée du développement, Chrysoula Zacharopoulou, était visée par une enquête, après deux plaintes pour viols et violences gynécologiques, dans le cadre de ses activités médicales.
L’enquête visant la secrétaire d’État Chrysoula Zacharopoulou a été classée sans suite
Le 4 avril, l’enquête a été classée sans suite par le parquet de Paris, pour infraction insuffisamment caractérisée, comme le révèle BFM TV. Néanmoins, l’une des plaignantes a déclaré avoir l’intention de déposer plainte avec constitution de partie civile, ce qui aurait pour effet de déclencher une instruction judiciaire.
À lire aussi : Contre les violences gynécologiques, un collectif de soignants publie une charte de bonnes pratiques
La secrétaire d’État était accusée par plusieurs patientes des gestes qu’elle leur aurait imposés sans leur consentement quand elle exerçait comme gynécologue. Une troisième plainte avait ensuite été déposée en juin 2022 pour violences sans incapacité de travail par personne chargée d’une mission de service public.
Après l’annonce de l’ouverture d’une enquête la visant, la secrétaire d’État avait rejeté les accusations, les jugeant « inacceptables et révoltantes ».
Vous aimez nos articles ? Vous adorerez nos newsletters ! Abonnez-vous gratuitement sur cette page.
Les Commentaires
Il n'y a pas encore de commentaire sur cet article.