Souvenez-vous : la semaine dernière, nous avions fait la connaissance du duo le plus drôle de l’histoire de Pékin Express, et je pèse mes mots.
Cette fois-ci, nous ne les avons pas beaucoup vus, mais à chaque fois que Vanessa et Étienne apparaissaient à l’écran, ils volaient la vedette à tout le monde.
Entre embrouilles de vieux couple, Étienne qui ne comprend jamais rien, et Vanessa qui se retrouve ENCORE les yeux bandés, voilà le best-of de notre binôme de choc !
« Bah j’ai rien compris »
Pendant ce deuxième épisode, une nouvelle règle a été introduite dans le jeu. En effet, la première équipe qui a été éliminée la semaine dernière, Sylvie et Alex, est finalement toujours en lice !
Ils sont maintenant le « binôme caché » et doivent faire la course comme les autres, mais avec une difficulté en plus : ne pas se faire cramer par les autres équipes.
Bon, je pense que vous avez pigé le concept de cette nouvelle règle ? Eh bien figurez-vous qu’Étienne lui, il a pas compris.
Lorsqu’il arrive avec Vanessa au premier palier de la course et qu’il est informé par une pancarte que Sylvie et Alex sont toujours dans le jeu, l’homme regarde dans le vide, lève les sourcils et dit :
« Bah j’ai rien compris. »
Vanessa tente de lui expliquer mais rien n’y fait ! Il ne pige que dalle. Ma théorie, c’est qu’il s’en fout : Étienne, il veut jouer, gagner, et ne pas perdre de temps à regarder des foutus paysages.
Ah oui, et dire qu’il est démoralisé. Ça il adore.
Attraper des chèvres, ça me fait pas peur
Un moment épique de l’épisode, celui où toute la bravoure et la force d’Étienne Le Désespéré (c’est son nom de chevalier) se sont révélées : l’épreuve d’immunité.
Comme dans chaque épisode, les trois équipes qui arrivent premières à l’étape 1 de la course doivent s’affronter pour tenter de gagner une immunité.
Là, il ne faut pas faire du stop, mais terminer un parcours en premier. Pour cette fois, chaque binôme avait une personne aux yeux bandés et une autre qui devait la guider dans un labyrinthe à l’aide de sa voix. La première équipe à finir gagne. Facile.
Mais pour avoir le droit de guider son co-équipier, la personne devait choper un mouton, puis lui couper un petit morceau de laine qui ne dépassait pas 20 grammes, le peser, et enfin seulement elle pouvait aller diriger son binôme.
Vraiment, je ne sais pas qui invente ces épreuves, mais j’ai besoin de lui ou elle pour organiser tous mes anniversaires, parce que les verres en terrasse c’est beaucoup moins fun.
Pour en revenir à notre héros Étienne, vous n’imaginez pas avec quelle dextérité il chopait les moutons ! J’étais sur les fesses. Regardez-le soulever cette pauvre bête à bout de bras comme si c’était un sac de pommes de terre.
On dira ce qu’on veut sur Étienne et ses râleries, mais cet homme sait attraper un mouton comme personne, et ça c’est priceless.
Pour se récompenser, il a même pu prendre une douche dans un lac chez des locaux. Enfin, une douche… C’est vite dit. Je vous laisse l’admirer en train d’essayer de se laver les pieds.
« C’est le jeu ma pauvre Lucette »
Encore un moment culte qui restera à tout jamais dans le best-of de Pékin Express. Je ne sais même pas comment l’expliquer, ça n’a pas de sens.
Vanessa, qui en a quand même marre de la négativité de Étienne par moments, lui dit d’arrêter de se plaindre parce que de toute façon :
« C’est le jeu ma pauvre Lucette ! »
Et là… la commedia dell’arte en personne. La réaction de notre cher cannois est incroyable. Il ne connaît pas cette expression, il ne comprend rien, il n’a pas la ref, pourquoi l’appeler Lucette et pas Étienne ?
Vanessa lui répond tout simplement :
« Eh bien toi t’es de la haute, moi je suis pas de la haute, c’est mon parlé ! »
Ce à quoi il rétorque :
« Ah bah ça… Je l’entends. Ça doit être une expression bien spécifique d’un endroit dans l’Aveyron. »
Que dire de plus sur ce moment ? Il n’a aucun sens, mais il est hilarant. J’ai vraiment l’impression de voir mes grands-parents s’embrouiller pour un « passe-moi le sel » juste parce qu’ils n’en peuvent plus de se voir tous les jours depuis 50 ans.
Et nous ne sommes qu’à la deuxième semaine entre ces deux-là. Qu’est-ce que ça va être s’ils vont en finale ?! Imaginez si Vanessa commence à dire d’autres expressions qu’Étienne ne connaît pas ? Préfèrera-t-il qu’elle lui dise « en voiture Étienne » plutôt qu’« en voiture Simone » ? On verra ça la semaine prochaine dans Pékin Express.
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Les Commentaires
Les autres binômes sont hyper mou , pas très intéressant