L’herpès, ça semble effrayant au premier abord… mais Laci Green a le don de faire relativiser par rapport à ce genre de sujet et de remettre les choses dans leur contexte.
C’est ce qu’elle fait avec cette thématique un peu taboue qu’est l’herpès dans sa dernière vidéo !
Tout en pédagogie, as usual, la youtubeuse explique qu’il existe différentes sortes d’herpès : les deux plus communs sont les herpes simplex virus 1 (sur la bouche) et 2 (sur les parties génitales). Bonne nouvelle, le premier est le plus répandu mais aussi le moins agressif.
Pour rappel : l’herpès peut s’attraper par contact ou friction avec l’infection
.
On a tou•tes plus ou moins idée de ce à quoi peut ressembler l’herpès, et c’est vrai que parfois, c’est pas jojo : ça peut faire des cloques qui mettent plusieurs semaines à cicatriser… mais, en réalité, la plupart du temps, ça ne ressemble pas à autre chose qu’à une piqûre d’insecte, comme on peut le voir dans la vidéo !
À lire aussi : Laci Green se dévoile dans une interview-portrait et répond aux critiques
Au niveau du traitement, on ne peut pas complètement le soigner, mais en revanche, on peut en atténuer les symptômes et faire en sorte de vivre mieux son herpès. D’autant plus que les éruptions cutanées sont de plus en plus légères au fur et à mesure que le système immunitaire du/de la porteur•se s’habitue au virus !
La chaîne TouTube Sex+ porte bien son nom puisque tout ce qui y est publié porte un message… positif : Laci Green explique très bien que le plus dur dans le fait d’avoir l’herpès, ce ne sont pas les symptômes physiques ou les médicaments à prendre.
C’est le stigmate que la société impose aux porteur•ses du virus. Pour le moment, ce n’est pas très positif, mais ça veut dire qu’on peut faire quelque chose à propos de ça !
Comme tous les préjugés en matière de sexe, ceux sur l’herpès viennent principalement du fait que certains aspects de la sexualité restent encore tabous, et que les gens manquent de connaissances à ce sujet.
Alors si, pour commencer, on dédramatisait le sujet, ça rendrait tout beaucoup plus facile, y compris le fait d’en parler à ses partenaires pour celles et ceux qui sont porteur•ses du virus !
Et si le film que vous alliez voir ce soir était une bouse ? Chaque semaine, Kalindi Ramphul vous offre son avis sur LE film à voir (ou pas) dans l’émission Le seul avis qui compte.
Les Commentaires