Enfants de la Tecktonik et du Raï’n B, si on doit envier une seule chose à nos parents, c’est peut-être d’avoir vécu les années disco. Un âge d’or pour la musique, la mode et la sexualité (une sorte de partouze sur fond de drogue et de Patrick Juvé – des mélanges qui, rappelons-le, sont très mauvais…). Aujourd’hui, en boîte, on écoute des bruits de chantier remixés, on se marche sur les pieds et on ne sait plus danser. Déchéance d’une génération…
Je propose de remettre le disco au goût du jour. Oui aux pantalons pattes d’eph’ qui moulent les paquets des garçons ! Oui aux tuniques lamées qui rendent électriques même les cheveux crêpés ! Oui aux combinaisons en lycra doré ! Et oui à la tong disco pour les jours ensoleillés. Ou pas ?!
« Peep Shoe » – Irregular Choice
Alors, portable ou pas portable la tong disco ? Classe ou pas classe sur le dancefloor ? Et surtout, penses-tu qu’il soit possible d’effectuer un grand écart amérciain tournaoyant ou une marche du kozak nain avec ça aux pieds ?
*Démonstration des dites figures par un maître du genre en image. Passage à la suite, à exactement 1minute et 30 secondes.
http://www.youtube.com/watch?v=dO1p2IxZA0U
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