1/ L’objet du délit : mon sac, tout gris, avec des étoiles en moins, acheté chez Bershka. Oui oui, je sais, comme ça, il a l’air banal, mais que nenni, il est ultra pratique. De un, il est supeeer grand, du coup, on peut y mettre tout et n’importe quoi (TRÈS pratique quand tu vas faire les magasins et que tu n’as vraiment, mais alors vraiment pas envie de te fader tous les sacs dans les bras. Total, tu fous tout en vrac là dedans, et tes mains sont miraculeusement libres. Magique). De deux, il est en bandoulière, et donc beaucoup plus pratique à te le caser entre les jambes si besoin est. Et oui, c’est un détail qui change tout.
2/ Mes trois portes monnaie : ouais, je sais j’abuse. Mais que voulez vous. Le 1er m’a fait tellement rire qu’il me le fallait. Il est énorme, normal me direz vous avec les quatre tonnes de cartes qui sont fourrées dedans. Le 2ème, offert par ma meilleure amie, me sert à mettre ma monnaie, qui évidement, ne rentre pas dans le gros, parce que sinon il devient impossible de le fermer (Et je commençais à en avoir marre de galérer en caisse comme une crétine pour fermer le maudit). Le dernier me sert exclusivement à mettre toute ma petite monnaie pour la machine à café, sans laquelle je serai à ce jour au delà du trépas, puisque si je n’ai pas mon viennois au chocolat journalier, je meurs.
3/ Mon parapluie : gris, avec une grosse fleur rose sur le dessus. Avant j’en avais un violet avec des pois multicolores, mais je l’ai oublié dans le bus, en bonne étourdie que je suis. Inutile de préciser que le parapluie est vital, dès qu’il commence à pleuvoir, j’ai la perruque qui frise (on ne rigole pas dans le fond de la salle).
4/ Mon bordel de fille (exactement) : à base de trousse à Tampax, élastiques, Labelo, mouchoirs, Doliprane, chewing gum (méga important pour le sourire Colgate, vous m’en voyez convaincue), crème hydratante (véritable drogue), brosse, solution hydroalcoolique, utile si comme moi les transports en commun sont ta deuxième maison, foulard, caillou cœur de ma meilleure amie & autres fariboles. FICHTRE.
5/ Mes clés : pour deux malheureuses clés, j’ai environ douze milles porte clés (dont un qui sort tout droit de ma culotte Etam, je l’avoue, shame on me), et ma clé USB 1GB sur laquelle je ne peux absolument rien mettre (je cherche encore l’utilité de la chose).
6/ Mon bordel multimédia : mon MP3 rouge d’amouuuur, récemment nommé Amour de ma vie, sans lequel je ne serai rien (ça m’évite de réduire à néant/niquer la gueule/fouetter aux orties/mettre un crochet du droit [rayez la mention inutile] à l’abruti qui a décrété que oui, il ferai partager coûte que coûte son amour pour la musique de « MAø » ou ce que j’en sais moi). Mon portable blanc (oui parce que le noir c’est has been m’a dit la vendeuse) avec le clavier azerty qui déboite en dessous, j’ai trouvé qu’il faisait très Veronica Mars. Ma carte Navigo, bénie soit elle.
7/ L’école : le trieur, surtout ne le fais pas tomber, ou t’as perdu. Mon agenda et ma trousse, qui contient tellement de choses pas répertoriées (du genre une petite cuillère, steuplait quoi) qu’elle en devient limite hallucinante. Pour la petite histoire, le truc qui traine au bout n’est ni plus ni moins que des ficelles qui dépassaient de mon t-shirt. Ni une ni deux, elles ont atterries là avec deux perles qui trainaient. Ou Comment se faire trop chier en cours en une leçon.
8/ Mes bouquins : le Code, objet de torture moderne connus et reconnus, le Lylo pour toujours trouver LE truc à aller écouter le soir à Paris, mon bouquin du moment & parfois le Biba du mois tout beau tout frais. TADAAAAAM.
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