Que l’on soit épris du duo français (comme ma cousine) ou toujours un peu dubitatif (comme moi), force est de reconnaître que pour ON’N’ON, Justice a fait fort.
Il y a un mois, le troisième extrait de l’album Audio, Video, Disco avait crée la « polémique » sur Facebook – puisque la publication de sa pochette sur la page Ed Banger n’avait pas été du goût de tous. Visiblement, certains fans auraient « signalé » la photo auprès des administrateurs.
Pedro Winter, le fondateur du label, a transmis un message exprimant son mécontentement à l’endroit des fans qui auraient été à l’origine de la suppression de la pochette du single.
« Pour une raison qu’on ignore, quelques « fans » se sont plaints de la femme nue sur la pochette du nouveau single de Justice… Facebook a supprimé la photo et m’a envoyé des mails d’avertissement… Et si on jouait à un nouveau jeu les amis, je vous en prie, arrêtez de nous suivre, on aura moins de fans, on n’a pas besoin de vous ici. Il est temps de faire un choix, si vous ne nous faites pas confiance, vous ne devriez pas perdre votre temps avec un label aussi merdique, non ? Pour les autres qui nous soutiennent depuis le premier jour ou qui nous découvrent maintenant, soyons forts, Ed Rec a bientôt 9 ans, grâce à vous. »
Excès de puritanisme mis de côté, ce morceau a tout d’un futur jingle entre deux chroniques au Grand Journal : entraînant, joyeux, vif.
Pour le clip, Gaspard Augé et Xavier de Rosnay se sont entourés de Alexandre Courtes (qui a déjà travaillé avec Snow Patrol, Kaiser Chiefs, U2 et Alice in Chains).
Une esthétique hyper Hubble space telescope, avec de jolis corps féminins nus et des effets de répétition et d’infini, le tout dans un univers très cosmique.
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