Tu as vécu des histoires de sexe qui méritent d’être entendues selon toi ? Des anecdotes insolites, amusantes, surprenantes ? Et si tu (te) racontais sous la plume de José·e L’Obsédé·e ?
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Publié le 10 juin 2018
Le printemps est de retour, avec ses rayons de soleil lumineux, ses arbres en fleurs et ses petits oiseaux qui gazouillent… Allez, générique !
L’hibernation est terminée et si certains peinent encore à émerger de leur sommeil hivernal, les beaux jours donnent des envies de sexe en pleine nature à Josée.
Petit florilège de récits coquins qui fleurent bon l’herbe coupé !
La tentative risquée au parc (ou audacieuse tu choisis)
C’était une belle après-midi de fin de printemps. Le soleil était chaud, rayonnant.
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Toute la population avait assailli le parc, grande étendue verdoyante et fleurie non loin du centre-ville. Je m’y balade en bonne compagnie avec mon José, venue profiter de la clémence de la météo.
Mon copain est très beau sous ce soleil, et je me sens fort mignonne dans ma jolie robe d’été.
Dans un coin du parc peu fréquenté par les promeneurs, je sens monter en moi une envie de câlins. Je lance des regards sous-entendus à José et alors s’ensuivent de doux échanges langoureux qui font grimper la température.
Nous finissons par trouver un endroit à l’abri des regards, et tentons notre affaire contre un arbre le plus discrètement possible (et ce n’est pas aisé).
Tous les sens en alerte pour ne pas se faire avoir, mon copain est extrêmement inquiet mais tout de même excité.
Finalement, nous nous interrompons en plein milieu de notre baise, trop stressés de se faire repérer par une famille à poussette qui pourrait passer par là.
Quand je repense à cette petite aventure sexuelle, je me sens toujours un peu émoustillée. C’était vraiment très excitant et je n’hésiterai pas à recommencer si j’en ai l’occasion.
Ce n’est pas pour faire ma rabat-joie mais je voudrais tout de même rappeler que faire du sexe dans un milieu public (rapport sexuel ou mastrubation) est répréhensible par la loi : c’est un délit d’exhibition sexuel.
La sanction peut s’élever à une amende de 15 000 euros et un an d’emprisonnement selon le Code Pénal. Voilà, désormais tu pourras agir en connaissance de cause !
La fellation interrompue dans le canoë
J’étais en voyage à l’étranger avec mon copain, nous avons loué un canoë pour se promener sur des rivières assez paisibles au milieu des montagnes rocheuses et entourées d’herbes hautes, d’arbres et de petites îles successives.
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Nous sommes seuls et à l’abri des regards, et nous trouvons l’idée de faire l’amour sur le canoë, au milieu de ce paysage magnifique, terriblement excitante.
Le bateau étant plutôt instable, nous ne pouvons pas entreprendre quelque chose de très compliqué, alors je lui propose une fellation.
Pendant ce temps, mon copain me caresse et surveille les alentours.
Tout se passe bien jusqu’à ce qu’un bruit nous effraie : ça ressemble à un bateau à moteur qui avance à toute allure sur l’eau et qui vient rapidement vers nous.
Nous pensons que c’est l’organisme qui fournit les canoës en patrouille. Effrayés qu’on nous surprenne, on s’est vite remis en place, sagement et proprement. Finalement, le bateau n’est jamais arrivé… car ce n’en était pas un.
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C’était un couple d’élans qui galopait à toute vitesse dans l’eau et qui traversait les petites îles. On les a aperçus et on a eu très peur qu’ils arrivent près de nous, car ces animaux sont très dangereux pour l’humain !
Disney nous fait croire le contraire mais je vous assure, ne croisez pas la route d’un élan !
Dans la cabane à outils au fond du jardin
D’abord, j’aimerais commencer ce récit sur une note musicale :
Alors, il ne s’agissait pas de la cabane d’un quelconque pêcheur mais d’une cabane quand même.
J’étais en soirée avec plusieurs amis dans une maison de campagne avec un petit jardin très agréable. L’ambiance est à la fête et au cours de la soirée, je me sens un peu pompette.
Je croise le chemin de cet ami d’ami que j’avais déjà aperçu au début des festivités et je me dis que j’ai très envie de lui rouler des pelles, à ce José ma foi fort mignon.
Nous nous tombons dans les bras l’un de l’autre et je lui fais comprendre que j’aimerais un peu d’intimité. Squatter dans les chambres de l’étage est proscrit par l’hôte de la soirée, donc nous nous dirigeons dans le jardin.
Dans l’obscurité de la nuit, on découvre une cabane à outils qui nous semble adéquate tout au fond du patio.
Une fois enfermés dans l’abri de jardin, il fait si noir que je dois l’aider à mettre une capote sur son pénis à la lumière de mon téléphone. José finit donc par me prendre en levrette, et je me cogne à plusieurs reprises à un truc que je ne distingue pas dans la pénombre.
Nous passons un très bon moment quoique peu confortable.
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Une fois notre petit jeu terminé, chacun retourne dans la maison, fort satisfait.
La soirée suit son cours et je m’endors dans l’un des canapés du salon, avec un petit plaid sur les épaules. Le lendemain, au réveil, je reçois un message de la part du José de la cabane qui me dit qu’il a peut-être oublié le préservatif dans le jardin. Évidemment, le jeune homme est rentré chez lui entre temps.
Je m’en vais donc accomplir cette tâche ingrate et en profite pour jeter un coup d’œil au lieu témoin de mes ébats sexuels nocturnes.
Et là, je découvre que la cabane est dans un état déplorable.
De la poussière absolument partout, des feuilles mortes qui jonchent le sol, d’énormes sacs d’engrais à moitié ouverts et posés contre les murs en bois qui tiennent à peine debouts. Je comprends aussi que je dois mes bosses sur la tête à une grosse tondeuse débarrassée là.
Cette partie de jambes en l’air dans la cabane à outils n’était vraiment pas une bonne idée, limite dangereux.
J’ai d’ailleurs récolté quelques bleus sur les genoux à cause du béton qui recouvrait le sol de cet abri.
Au bord du lac, paradisiaque
Avec José, nous sommes très branchés nature et un weekend, nous décidons de partir camper au bord d’un lac. Le programme, c’est de passer deux jours à se promener et profiter de la campagne.
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Nous nous rendons près du lac connu dans le coin et réputé auprès des marcheurs. Il fait si beau qu’on part à la recherche d’un petit coin tranquille pour se baigner.
On tombe sur une petite crique en bas d’une pente, avec plein d’arbres, donc nous ne sommes pas trop à découvert non plus. On décide alors de mettre nos pieds dans l’eau.
On avait les maillots mais mon José a choisi d’y aller totalement nu (il est méga à l’aise avec son corps). Moi je suis un peu gênée mais j’ai bien envie de me baigner à poil parce que c’est chouette quand même.
Alors je prends mon courage à deux mains et j’y vais, toute déshabillée.
Donc comme ça, mais sans les fringues
On se prend dans les bras, on se câline et puis, une chose en menant à une autre, nous voici dans l’eau jusqu’à la poitrine et forniquant joyeusement.
Avoir toute cette nature autour, c’était dingue : le temps était radieux, pas un nuage à l’horizon et le lac était absolument magnifique… Sauf qu’un instant, j’ai cru voir des gens passer en pédalo à plusieurs mètres de nous. Je suis quasiment certaine qu’ils nous ont aperçus.
Après notre expérience sous-marine, nous sortons du lac, nus et essoufflés mais étrangement, l’excitation n’est pas encore retombée. On finit par s’envoyer en l’air contre un arbre, aux abords du chemin qui mène à la crique.
Pour le coup, si quelqu’un passait par là, on était fait comme des rats !
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Les Commentaires
Alors il y a déjà de nombreuses années, quand j'étais au lycée, j'étais dans un parc avec mon copain, on en était au début de notre relation et nous n'avions pas encore consommé la chÔse. A force de nous faire des bisous un peu trop langoureux on avait un peu le slip en feu, mais il n'était vraiment pas envisageable de faire ça sur le banc où nous étions, il y avait bien trop de passage. Alors on est allé se poser au bord d'une rivière où nous avons essayé de nous planquer comme on pouvait dans une sorte de bosquet. Gentleman, monsieur a étalé sa veste pour que mon doux fessier ne soit pas en contact avec les cailloux, et nous avons fait notre petite affaire. Sauf qu'à l'issue de ça, on a découvert qu'il y avait un type en train de pêcher à quelques mètres de nous, on a essayé pendant longtemps de nous convaincre qu'il n'avait surement pas entendu...
L'une des dernières en date, c'était de nuit au bord d'un lac sur du gros sable, RIP mes genoux!